Partie de tennis
Datte: 10/10/2018,
Catégories:
fhh,
couplus,
piscine,
sport,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
jeu,
Auteur: Ugluk, Source: Revebebe
... Excusez-moi ! Je venais juste vérifier le disjoncteur de la filtration de la piscine…
Je parviens à reconnaître la voix désolée de Yoanne. Je suis prise de panique et je tente de me dégager. Julien fait preuve d’une force colossale. Il se plaque contre moi et me maintient fermement, m’interdisant tout mouvement, puis il s’adresse à Yoanne :
— Ne sois pas timide, fais ce que tu as à faire.
— Mais… ai-je juste le temps de protester avant que sa main se plaque sur ma bouche, tandis que les coups de reins reprennent de plus belle dans mon bas-ventre.
Julien me susurre à l’oreille :
— Tu as profité du spectacle que Yoanne t’a offert dans l’écurie, alors ! ! !
J’aperçois la silhouette du jeune homme. Il hésite à se rendre jusqu’à l’armoire électrique. Il est visiblement très intimidé par la scène torride qui se déroule sous ses yeux. J’ai l’impression que Julien redouble de vigueur à chaque fois que Yoanne lance un regard dans notre direction. Je suis décontenancée par cette situation. Je suis offerte au regard du jeune homme dans la position la plus indécente qui soit.
— Allons, ne sois pas si timide ! finit par dire Julien, en constatant que le jeune homme n’ose pas passer à notre hauteur pour atteindre son objectif. Tu sais, Vanessa a pris beaucoup de plaisir à te regarder faire l’amour à Isabelle, dans les écuries. Il est normal que tu puisses à ton tour profiter de ce petit privilège. D’ailleurs, je suis sûr que Vanessa meurt d’envie de te récompenser en te ...
... laissant participer à nos ébats. Viens !
Je n’ai pas le temps de protester. Julien m’assène de violents coups de boutoir. Son ventre claque contre mes fesses et mon souffle est coupé et j’ai tout le mal du monde à retenir les cris de plaisir qui trahiraient mon émoi. Ma volonté s’oppose à ce stupre alors que mon corps, avide de sensations exclusives, y consent. Finalement, je décide de me contenter de jouer mon rôle d’esclave. Je ne veux pas avoir à réfléchir sur la morale de cette situation. En fait, je ne fais que laisser mon maître me soumettre à ce qui est depuis longtemps, il faut bien l’admettre, un fantasme inavouable. Je ferme les yeux, comme si de cette manière je pouvais exclure toute responsabilité dans ce qui va se passer.
Lorsque je les ouvre enfin, Yoanne est déjà juste devant moi. J’ai l’impression qu’il ne se pose pas trop de questions et qu’il est bien décidé à ne pas laisser passer une pareille occasion. Il s’agenouille et ses mains plongent dans l’eau à la recherche de mes seins. Les doigts se joignent habilement aux bulles pour continuer le délicat massage. Mes yeux se fixent alors dans les siens, tout comme hier soir aux autos tamponneuses, et mon excitation atteint à nouveau les sommets. Julien, conscient que le rythme qu’il avait adopté était trop violent pour se prolonger suffisamment, est revenu à la raison. Il a également relâché sa prise sur moi, car il a parfaitement senti que je ne tenterai pas de me défiler. Il sait que je suis soumise au ...