1. Partie de tennis


    Datte: 10/10/2018, Catégories: fhh, couplus, piscine, sport, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, Partouze / Groupe jeu, Auteur: Ugluk, Source: Revebebe

    ... que les bulles fouillent avec une totale indécence. La sensation est si agréable que j’éprouve le besoin d’écarter les cuisses pour permettre aux bulles bienfaitrices d’atteindre l’orée de ma vulve et de se promener contre mes petites lèvres pour frictionner mon clitoris que je devine saillant de son petit capuchon, car le bien-être se transforme très rapidement en plaisir.
    
    Julien non plus ne doit pas rester insensible aux massages de ce bain bouillonnant, car mon pied touche un membre bien vigoureux. Julien glisse jusqu’à moi. Il devine le plaisir qui me submerge. Ses mains se joignent aux bulles pour m’infliger un massage extrêmement agréable. Mon amant devient rapidement très entreprenant. Son corps entre en contact avec le mien. Sans brutalité, mais avec détermination, il me retourne. Je me retrouve à quatre pattes dans l’eau. Mon ventre est offert en pâture aux bulles. Mes seins se raffermissent, les pointes s’érigent, deviennent très réceptives. Julien dégage soudain une telle puissance virile qu’il me vient une image étonnante dans la tête. Me voilà en train d’évoquer les bains que prenaient les Romains et qui donnaient lieu à de fantastiques orgies. D’un coup, je me retrouve l’esclave à qui le maître a ordonné de venir le rejoindre. Je dois me soumettre à ses exigences et le laisser m’infliger l’indécence de cette position bestiale.
    
    Impassible, j’attends l’inévitable accouplement. Il tente de s’immiscer entre mes jambes. Je tente une petite résistance, mais ...
    ... l’homme montre sa force et m’ouvre comme un fruit mûr. Il me pousse afin que je puisse poser ma tête sur le bord du bassin. La céramique est froide, dure. Les bulles parfumées continuent à couvrir mon corps de caresses qui me font imaginer que d’autres hommes profitent de ma soumission d’esclave pour toucher ma peau. Je sens le gland de mon maître qui se positionne à l’entrée de ma vulve. Je suis serrée, réflexe naturel qui évite à l’eau de s’engouffrer en moi, alors le gland devient fort comme le bélier à l’assaut de la porte d’une forteresse. Il balaye tout obstacle pour s’enfoncer au plus profond de mes chairs sensibles. Il les dilate sur son passage et va heurter le fond de ma matrice. Je ne peux retenir un cri de plaisir, symbole de mon asservissement. Mon initiateur possédait déjà mon corps, voilà qu’il vient de conquérir mon âme. Le pieu de chair s’agite progressivement en moi et je suis totalement soumise à son rythme. Il se joue de changements d’allure qui m’amènent au bord de l’orgasme. Je mords mon poignet pour tenter de retarder ma jouissance, mais la douleur ne fait qu’accentuer mon plaisir.
    
    Heureusement, Julien domine parfaitement le coït et parvient à m’éviter de basculer trop vite. Il fait durer et c’est extraordinaire. Il contre même mes offensives lorsque je cède à la tentation et que j’envoie mon bassin en arrière pour forcer le rythme. Je suis en transe. Soudain, j’entends du bruit vers la porte. Mon cerveau a du mal à réaliser ce qui se passe.
    
    — Oh ! ...
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