Ma soeur Faten 4
Datte: 09/10/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: zebre222, Source: xHamster
... grâce à ton attitude, qui a su m'emmener jusqu'à cet orgasme foudroyant que je viens de vivre pour la première fois de ma vie !
.. Te regarder t'offrir à moi de cette façon, dès la première séance est un fait unique, qui ne s'était jamais produit dans cette maison !
.. Je te le dis, en toute sincérité, je connaitrai des femmes dans ma vie et je me marierai, peut-être, mais jamais, je ne t'oublierai !
.. Dommage que je ne puisse pas t'épouser... ! »
Puis je la regarde, elle pleure, les larmes coulent sur ses joues. La scène ne me laissait pas réfléchir, je me levai sans réaliser que j'étais tout nu. La voir pleurer me faisait très, tres mal, j'étais prêt à donner ma vie pour elle.
Je m'assis à côté d'elle, je la serrai dans mes bras et je lui essuyai les larmes. Elle sanglotait à voix basse. « S'il te plaît, ne pleures pas, je donnerais ma vie pour toi ! ». Elle me repoussa, me regarda droit dans les yeux :
« Je m'en irai en enfer ! » Elle allait éclater en sanglots, si ce ne fut pas ma rapidité pour lui fermer la bouche.
Elle se laissa aller sur le lit, pour pleurer.
« Je ne sais quoi te dire, que tu n'irais pas en enfer, j'irais à ta place ! » Je le répète, plusieurs fois, bêtement.
Elle se releva, plongea sa tête sur ma poitrine. Je la serrai dans mes bras.
« Tu feras ça pour moi ? Me disait-elle.
– Beaucoup plus, je mourrai pour toi, je t'aime !
– Tu m'aimes ? Combien de nuits et de jours, j'ai attendu que tu me dises ce mot doux !
.. ...
... Combien de nuits, je le regardais ronfler, alors que j'avais envie, que tu me serres dans tes bras ! »
Je l'écoutais, je la laissais parler sans l'interrompre. J'ai compris que sa "tête de con", passait beaucoup, beaucoup plus de temps à se prosterner que de baiser sa femme qui en avait grandement besoin.
Elle me repoussa, j'ai failli tomber, puis je me suis relevé. Elle tourna autour de moi, puis me fit signe de m'allonger par terre et non sur le lit, ce que je fis. Sans enlever sa robe, elle m'enjamba, puis me demanda si j'avais de la crème, je lui répondis que oui, dans la salle de bain. Elle y alla et revint avec un tube de crème et m'en mit sur la bite et commença par me masturber, en me disant : « j'ai tout perdu, au moins, je ratt****rai le retard en plaisir, mais avant, j'ai envie de me faire mal ! ».
Elle se pencha sur moi, m'enjamba, sans enlever sa robe, elle était presque assise sur mon corps, elle passa sa main sous sa robe, prenant mon sexe dans sa main pour le mettre juste à l'entrée de son anus. Elle s'assit dessus, d'un coup, elle fit un cri rauque, « aie ! ».
Et d'un coup, elle se retira et se pencha vers moi et me répéta : « ça fait trop mal, je suis désolée, tu ne m'en veux pas ? ».
Le bout de ses seins frôlait mon torse, je la poussai, doucement en arrière, en avançant mon sexe, elle avait compris dans mes yeux.
« Non, c'est non ! »
Mais elle recula tout de même !
« Non, il ne faut pas ! » Me dit-elle.
Quand mon sexe a effleuré ...