1. Ma soeur Faten 4


    Datte: 09/10/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: zebre222, Source: xHamster

    ... dit-elle et dans la salle de bain, elle me nettoya la plaie.
    
    .. On dirait que c'est une personne adulte qui t'a fait ça ! »
    
    J’étais beaucoup plus préoccupé pour pouvoir lui répondre, je n'ai vu FATEN qu'au moment où AFFAF lui demandait de me tenir le bras bien droit et sans qu'elle n’attende la réponse, mon bras était tiré vers elle, mon bras dans les mains de FATEN, tout mon corps tremblait par l'émotion. AFFAF sentit le tremblement de mon corps :
    
    « N'aie pas peur, je ne te ferai pas mal ! »
    
    Si elle savait où est le mal... ! « Tiens-lui le bras, je reviens ! Dit AFFAF, en sortant.
    
    – Comment te sens-tu ? Je suis désolée pour ton bras ! »
    
    Ses paroles m'ont pris de court, il m'a fallait un temps pour répondre maladroitement :
    
    « Ce n'est pas grave ? Pour hier, je regrette, je te demande pardon ! »
    
    FATEN s'est souvenue qu'elle m'avait mordu au bras et que l'émotion était trop grande pour réaliser ce qui s'était passé.
    
    La discussion s'est arrêtée là, AFFAF est revenue
    
    « Je te fais un pansement, mais dorénavant, ne t'occupe que de tes affaires !
    
    – Prends une douche, tu te sentiras mieux ! » Dit AFFAF à FATEN.
    
    Sans attendre, je suis déjà en dehors de la salle de bain, je rejoins maman à la cuisine, ensuite, AFFAF nous rejoint et, un peu plus tard, FATEN.
    
    « Assieds-toi ! » Lui dit maman, en lui offrant le siège à côté de moi.
    
    Revoilà mon corps qui est fiévreux, de nouveau, je ne lui lance des regards que discrètement.
    
    Beaucoup plus tard, ...
    ... nous mangeons, tout en discutant, maman me demande :
    
    « Dis, tu n'es pas souffrant, par hasard ? Une c'est suffisant, pas deux, je t'en prie !
    
    – Maman, je te dis que je n'ai rien ! »
    
    J'ai prononcé cette phrase avec la gorge nouée, les larmes au bord des yeux.
    
    FATEN a senti que j'allais éclater en sanglots, elle me sauva par un geste inattendu, elle posa sa main sur ma jambe, en dessous de la table.
    
    Machinalement, je posai ma main sur la sienne. Elle la retira pour la poser sur la mienne, ensuite, elle me caressa la main.
    
    Ce fut le déclic qui m'a fait rendre les larmes et mon visage de reprendre une couleur normale. La joie m'a coupé l'appétit, mais j'étais heureux du dénouement. Je savais que j'étais pardonné et c'est beaucoup plus tard, alors que les 2 autres étaient endormies, qu'elle est venue me rejoindre dans ma chambre, je ne pouvais dormir.
    
    Elle restait debout, elle ne voyait pas si je dormais.
    
    « Tu dors ?
    
    – Non... ! Et je me relevai, m'adossant au mur.
    
    .. Assieds-toi ! »
    
    Elle hésita un instant, puis s'assit sur le bord du lit, juste au niveau des pieds. J'avais la gorge nouée, je voulais lui dire beaucoup de choses, mais je n'arrivais pas à sortir un mot.
    
    Je disais tout haut ce que je pensais tout bas :
    
    « Je me dois de te féliciter, car grâce à toi, j'ai passé un moment d'une intensité rare... !
    
    .. Je me suis aperçu que tu comprenais mes désirs profonds !
    
    .. Sans que j'aie besoin de te demander quoi que ce soit, c'est toi, ...
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