1. Une plantureuse et experte gymnaste 1


    Datte: 09/10/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Bgp, Source: Hds

    ... sorbet en dessert, et je vivais un rêve éveillé à chaque fois que sa bouche se plissait pour lécher la cuillère.
    
    Le repas terminé, je lui proposai de la raccompagner dans le bungalow qu’elle occupait à portée de marche du restaurant. Je réglai bien sûr l’addition et j’eus droit à un baiser sur le front comme remerciement. C’est vrai que sa bouche était juste à la bonne hauteur...
    
    — C’est gentil de m’avoir invité. Tu es adorable ! J’ai vraiment apprécié ce dîner. Tu a été à mon écoute toute la soirée. C’est si rare un homme qui ne parle pas que de lui ou de sa grosse voiture !
    
    Rouge comme une tomate, je lui répondis.
    
    — Tu es une femme si brillante. On ne peut que boire tes paroles !
    
    — Oui, mais du coup je ne sais pas grand chose de toi ? Tu pourras m’en dire plus sur le trajet ?
    
    — Biensur ! Allons y !
    
    Troublé par l’attirance réciproque que j’avais perçu chez cette déesse, je me me mis à marcher et à parler de ma vie, jusqu’à ce que je sente une douleur vive dans mon pieds droit. Je venais de marcher sur quelque chose de coupant caché dans le sable. Me tenant sur une jambe, je relevai mon pied qui pissait le sang. Je me laissai tomber dans le ...
    ... sable et la belle s’accroupit à coté de moi.
    
    — Laisse moi regarder, je suis secouriste.
    
    Elle prit mon pied dans ses mains et chercha la source du saignement. Malgré mon état, mes yeux se perdirent dans son décolleté profond, puis se focalisèrent sur ses longs doigts dans lesquels ma pointure 37 paraissait si petite.
    
    — Tu t’es fait une belle coupure sous le pieds. Si je tenais ceux qui ont laissé traîner ces verres !
    
    Son attitude me surprit, j’étais flatté qu’elle veuille prendre ma défense physiquement, mais aussi un peu terrifié qu’elle s’en sente capable !
    
    — Tu ne peux pas marcher comme ça. Tu risques d’agrandir ta blessure et de l’infecter.
    
    Elle jeta un coup d’oeil dans son sac à main mais n’y trouva aucun pansement suffisamment grand.
    
    — Je n’ai rien pour te bander le pied ici mais j’ai ce qu’il faut chez moi et on est plus très loin. Je vais te porter.
    
    — Me porter ? Mais je suis beaucoup trop l…
    
    Avant que je ne termine ma phrase, l’amazone accroupie avait passé un de ses bras sous mes genoux et l’autre sous mon dos et se relevait en me soulevant, comme si elle portait une fillette. Je restai bouche bée face à cette démonstration de force. 
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