-
Une plantureuse et experte gymnaste 1
Datte: 09/10/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Bgp, Source: Hds
... positions tout en gardant ce magnifique sourire ! Mon compliment la fit rougir. Elle me répondit de la voix la plus douce et sensuelle que j’ai jamais entendue. — C’est l’entraînement. Je pratique la barre fixe et le cheval d’arçon depuis mon plus jeune âge. ça m’a donné cette souplesse et cette tonicité. Voilà comment elle s’était sculptée un tel corps ! — Vous devez être professionnelle ? — J’aurais bien voulu, mais la nature en a décidé autrement. Quand j’ai commencé à développer cette poitrine à 14 ans, et surtout ma grande taille, j’ai dû laisser mes espoirs de côté. La compétition était trop dure face à des filles qui n’avaient pas ces formes à gérer. Une fille mesurant 1m82 avec un 115E de tour de poitrine doit développer une force colossale pour être à l’aise autour d’une barre fixe, et quand bien même, elle ne sera jamais aussi à l’aise qu’une crevette d’1m50 pour 40kg, plate comme une limande. J’ai préféré me concentrer sur les études et j’entre aux beaux arts à la fin du mois. Tout en faisant cet aveux, Maryline, remontait le haut de son maillot qui commençait à dévoiler une de ses larges aréoles. Je fus très surpris qu’elle me parle aussi librement de ces deux joyaux qui semblaient l’ encombrer, de sa grande taille, et de sa force ! Je ne savais quoi lui dire et décidait de lui proposer de dîner. — Puis je t’inviter à dîner ? La surprise fit perdre son beau sourire un instant à la belle, mais il réapparut bien vite quand elle accepta. — ...
... Pourquoi pas. Ce cours m’a ouvert l’appétit ! — Je connais un petit restaurant un peux plus loin dans un coin plus calme. ça te va ? — Sans problème ! Nous nous mîmes à marcher et je ne perdais pas une occasion de dévorer des yeux cette beauté d’un autre monde, dont le petit bikini et la démarche féline ne faisait que sublimer la sensualité. Tous les yeux se tournaient vers elle et je me sentais comme l’homme le plus chanceux du monde. Nous arrivâmes dans le petit restaurant qui était quasi désert en ce début septembre, à part un couple de retraité, dont le mari faillit perdre son dentier quand il vit Maryline entrer. Nous nous assîmes de part et d’autre d’une table qui donnait sur la plage, avec une vue paradisiaque sur le soleil qui rejoignait l’horizon. J’avais l’impression de flotter sur un nuage tant cette scène avait une saveur onirique. Je n’aurais pu rêver d’une meilleure soirée. Nous fumes servis rapidement et Maryline me parlait de sa difficile enfance de sportive, déchirée entre des parents qui divorçaient, de sa passion pour l’art, même de ses difficultés d’adolescente face à ce corps splendide qu’elle n’assumais pas encore totalement. Je buvais ses paroles tout en me régalant du spectacle de ses seins massifs qui tremblaient à chaque fois qu’elle coupait quelques choses dans son assiette, tellement ils étaient à l’étroit entre ses deux biceps bien dessinés. La lumière rasante dessinait l’ombre de ses tétons que je rêvais de croquer. Elle commanda un ...