La mère de Jean (11)
Datte: 09/10/2018,
Catégories:
Divers,
Auteur: Anthynéa, Source: Xstory
... détails dont pourtant elle ne réclamait rien. Le portefeuille de Dimitri diminua d’épaisseur et celui de la rousse prit du volume. C’était aussi de bonne guerre. Ensuite ils refirent l’amour et elle le pressa comme un citron. Il ne se retint pas une première fois et éjacula dans la bouche gourmande de la rousse. Puis elle continua à le sucer, le lécher jusqu’à ce qu’il retrouve un second souffle.
Lui aussi s’occupa de sa chatte avec une faim grandissante. Et il s’octroya même la familiarité de lui enfoncer un index dans le derrière. Si elle lui attrapa le poignet, ce n’était pas pour le faire partir de là, mais seulement pour lui donner un rythme moins douloureux. Il l’embrassa maintes et maintes fois, puis il eut encore une demande assez précise.
— Vous me permettez d’entrer là où j’ai mis mon doigt ?
— Vous me promettez d’être doux, de ne pas forcer comme une brute ?
Combien de mecs devant une telle demande auraient dit autre chose que lui ?
— Bien sûr que je serai doux. J’ai envie de vous prendre par-là, mais je ne suis pas un sauvage… vous voulez bien, dites ?
Il avait tenu parole. Faisant une pause, quand elle posait sa main sur son ventre pour qu’il fasse un arrêt. Lentement elle s’habitua à cette chose en elle et il parvint à cette sodomie totale dont il rêvait pour de bon. Elle n’avait ressenti qu’une légère douleur à l’intromission, puis une sorte de gêne lors des premiers va-et-vient. Après… elle ne se souvenait que sa jouissance et de la main ...
... de l’homme qui lui caressait la chatte tout en la pistonnant si profondément qu’elle entendait son ventre claquer contre ses fesses. Elle avait joui des caresses, moins sans doute de la sodomie.
Mais celle-ci n’avait pas été non plus une souffrance horrible, non. Elle préférait sans doute toujours un coït, entre guillemets « normal », à cette pratique, mais c’était supportable et souvent les hommes aimaient bien cette pratique. Elle saurait donc aussi, de temps en temps, faire plaisir à l’un d’entre eux. Les plus méritants pourraient prétendre à cette privauté. Ça ne deviendrait jamais une habitude, et de cela elle en était bien certaine.
La nuit était déjà bien avancée lorsqu’ils se quittèrent. Dimitri avait voulu la raccompagner, mais elle avait refusé. Pas très envie qu’il sache de suite où elle résidait et elle avait fait le chemin sous des rafales de vent annonciatrices d’une nouvelle tombée de neige. Le froid était coupant et elle fut heureuse de rentrer dans sa maison. La cheminée quelques minutes plus tard, illuminait de ses flammes, son salon. Sur son portable plusieurs appels et un message de Lucie l’attendaient. Elle écouta celui-ci puis le supprima sans pour autant la rappeler.
Son amie voulait juste savoir si le type à qui elle avait donné ses coordonnées avait appelé. Donc il n’y avait aucune urgence. Elle prit son temps pour se dévêtir. Elle s’était douchée dans la chambre d’hôtel avant de la quitter et elle se coula avec plaisir dans un déshabillé ...