La mère de Jean (11)
Datte: 09/10/2018,
Catégories:
Divers,
Auteur: Anthynéa, Source: Xstory
... des genoux, la couche. Lui, la tira alors qu’un de ses pieds se posait sur le plumard. Elle se retrouva très vite allongée et il était aussi à poils. À l’aide de la main qu’il gardait dans la sienne, il la guida de suite vers sa bite.
— Vous voyez, je vous attendais, vraiment. Votre main est chaude, c’est bien, vous pouvez toucher, ça ne mord pas.
— … !
Toujours aucun son ne voulait sortir de cette bouche qui de toute manière allait sans doute être mise à contribution. Mais lui ne s’embarrassait pas de ce genre de questionnement. Il était sûr de son fait. Il demanda pourtant avant de… consommer.
— Je peux vous découvrir aussi à l’aveugle, de la main et de la bouche ?
— … ! Euh ! Ou… oui.
Maintenant le mot était lâché et ce Dimitri avait son accord, donc elle ne pouvait plus s’en prendre qu’à elle-même. Venir dans la chambre d’un type, se foutre à poils et se laisser baiser sans même échanger deux mots, elle n’en revenait pas de ce qu’elle faisait. L’incroyable facilité avec laquelle elle s’offrait… elle eut une pensée pour Lucie. Elle maudissait son amie qui la conduisait sur ce sentier plutôt glauque du sexe avec des inconnus. Elle avait conscience qu’elle franchissait un cap. Mais aussi bizarre que cela puisse paraitre, elle mouillait de se vautrer aussi dans le stupre.
L’esprit humain garderait toujours une part de son mystère insondable et Adèle ne se comprenait plus du tout. Sa vie basculait dans ce genre de cochonneries que quelques semaines ...
... auparavant, elle réprouvait avec véhémence. C’était bien la preuve que rien n’était écrit à l’avance. Mais sur le lit ce qu’elle tenait là, dans sa main refermée, raidissait de plus en plus. Dimitri s’était simplement tourné vers elle et sa bouche maintenant lui envoyait un souffle aussi court que le sien, sur le cou et le visage. L’émotion n’était donc pas que féminine.
Même s’il y avait cru, il restait la possibilité d’un désistement de dernière seconde. Mais le fait que cette jolie femelle ait osé pousser sa porte lui ouvrait des perspectives bien agréables. Il avait toujours aimé les nouveautés et celle-ci en était une bien réelle et palpable. Sa bouche courut de suite pour se rassurer pleinement, vers une autre qui de toute évidence restait nouée par l’appréhension. Et ce premier contact les fit frémir tous les deux. Elle était extrêmement réceptive et le frisson qui la parcourait était de bon augure.
Il s’enhardit donc et une de ses pattes de mâle partit en exploration. D’abord sur les contours d’un visage bien fait, dont il gardait l’image des traits, volés lors de la discussion autour d’une boisson. Puis cette grosse pogne fila vers un mamelon qui restait ferme et élastique tout à la fois. Un sein aussi agréable au toucher qu’il l’était à l’imagination. Alors conquérante, cette main, sans obstacle sur sa route, glissa doucement vers l’endroit qui le faisait bander. Et deviner sans voir était encore plus excitant. Dimitri adorait ces découvertes hors de la vue.
Elle ...