Franchir le pas...
Datte: 13/01/2018,
Catégories:
fh,
grp,
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extraoffre,
copains,
boitenuit,
confession,
couple,
entrecoup,
Auteur: Papillotte, Source: Revebebe
... ». L’avantage duclubbing faisant que l’on n’a pas l’impression d’y être juste pour écarter les jambes, il peut très bien ne rien se passer du tout, c’est avant tout une discothèque, après tout. Dans le cadre d’une soirée privée, c’est tout autre chose… On sait pourquoi on y va. Et cette idée du « prévu et imposé » me rebutait.
Pourtant, ce couple m’avait tellement plu, tellement mise à l’aise, que l’idée de me retrouver chez eux ne me faisait pas du tout peur, allez comprendre…
C’était donc un samedi soir, Julia avait prévu une soirée crêpes bretonnes, ce sera finalement un tajine. Qu’à cela ne tienne.
Je ne sais pas si je fus naïve, ou si la confiance que j’avais développé pour ce couple me libérait de toute crainte, mais je ne me sentais pas « piégée », pas en danger, juste un dîner avec des amis… Et puis de toute manière, si quelqu’un était intervenu dans la première partie de la soirée, il aurait vraiment eu l’impression de voir deux couples d’amis dîner ensemble.
Nous avons discuté de plein de choses, absolument pas de sexe, mais de famille, de travail, de mariage, d’amour… Ce couple est décidément formidable. Je pense que si nous avions commencé à parler crûment au cours du dîner, j’aurais pris mes jambes à mon cou !
Tout s’est fait naturellement. Nous avons mis la musique, nous avons chanté, nous avons dansé. Puis l’alcool aidant, nous avons commencé à nous laisser aller, nous les filles, dans des danses sexy et endiablées. D’abord avec nos hommes ...
... respectifs. Puis nous avons commencé à nous chercher… Timidement au début, puis de plus en plus clairement.
À ce moment-là, je sentis bien que la soirée prenait une nouvelle tournure, et que cette fois, pas d’excuses de piste de danse… Mais curieusement je ne m’en inquiétai pas. Et c’est sans doute cela qui m’a fait me laisser autant aller à mes sensations.
Cette fois, nous avons clairement échangé nos partenaires. Nous dansions au milieu du salon, nous nous embrassions, nous nous touchions, l’ambiance devenait de plus en plus « chaude et humide »…
Et vinrent les premiers vêtements retirés. Puis rapidement, nous nous retrouvâmes nus tous les quatre, prêts à succomber aux plaisirs de la chair les uns avec les autres.
L’avantage d’un petit appartement, c’est que les pièces font souvent multifonctions. Et ce fut le cas puisque la seule et unique pièce que nous avons fréquentée dans cet appartement fut d’abord un salon pour l’apéro, puis une salle à manger pour le dîner, une discothèque pour danser, et enfin une chambre à coucher. Le lit étant à quelques centimètres de la « discothèque ». Quel sens du pratique !
Nous commençâmes d’abord à nous mouvoir (et à nous émouvoir) avec nos conjoints. Puis rapidement, nous laissions aller nos mains vers les corps à disposition à nos côtés. Jusque-là rien de bien nouveau. La pratique du mélangisme faisait déjà partie de nos acquis. Je sentais bien que nous n’allions pas en rester là. Mais je n’avais aucune crainte. Je me sentais ...