1. Un samedi pas comme les autres


    Datte: 08/10/2018, Catégories: ff, fplusag, extracon, inconnu, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral 69, occasion, Auteur: Bijanus, Source: Revebebe

    ... ne sais si c’est de ma faute ou de la sienne, ou le trouble qui maintenant nous tient toutes les deux, mais le jus qui s’écoule rate le verre en partie et se répand sur sa jupe. Une immonde tache d’un violet foncé se forme sur le tissu.
    
    — Oh ! merde ! Pardon ! Excusez-moi ! C’est de ma faute, je suis affreusement maladroite.
    
    Carole me répond :
    
    — Non, c’est moi qui ai dû bouger sans le vouloir, il ne faut pas vous en vouloir.
    — Si, si ! Je m’en veux, je crois que j’ai bousillé votre jupe. Attendez, il n’est peut-être pas trop tard. Enlevez-la ! Je vais la rincer sous l’eau immédiatement, avec la chaleur qu’il fait elle sera vite sèche. De toute façon, cela ne peut être pire.
    
    Carole reste un peu interloquée, ne sachant que faire ou n’osant pas se dévêtir devant moi.
    
    — Allons, ne soyez pas gênée. Nous sommes entre femmes, non ?
    
    Mon argument fait mouche, ou la peur de perdre sa jupe est la plus forte, Carole se lève et dégrafe son vêtement. Celle-ci glisse jusqu’en bas. Elle s’en saisit et après quelques mouvements de jambes pour passer les pieds, elle me la tend. Bien sûr je ne peux m’empêcher de jeter un œil à ses sous-vêtements. Elle porte une simple culotte en coton de couleur rouge très pâle. Sans insister plus sur sa garde-robe intime, je m’éloigne en disant :
    
    — J’en ai pour une minute, juste le temps de la rincer à grande eau.
    
    Ce que je fais rapidement dans la salle de bain. La tache semble avoir disparu, aussi je pose la jupe sur mon étendoir ...
    ... et entrouvre la fenêtre de la pièce avant de retourner auprès de Carole.
    
    À mon retour j’annonce fièrement et avec un large sourire :
    
    — Je crois que la tache est partie, on verra mieux une fois la jupe sèche, mais je suis optimiste.
    
    Carole est toujours sur le canapé, les jambes pudiquement serrées. Sa position montre clairement que même si on est entre femmes, elle est gênée de se retrouver en petite culotte devant moi.
    
    En même temps je m’aperçois qu’un peu de jus est aussi tombé par terre à ses pieds. Je saisis un des mouchoirs en papier qui traînent toujours sur ma table de salon dans leur boîte et je dis :
    
    — Mon parquet aussi a reçu sa dose de jus, heureusement il est moins fragile que votre jupe.
    
    Je me penche alors pour essuyer. Carole est obligée de bouger et de desserrer ses jambes pour me laisser passer. Cela ne dure que quelques secondes, mais j’ai le temps de voir qu’une belle auréole d’humidité forme un cercle sombre à son entrejambe. Ma petite voyeuse a l’air d’avoir bien mouillé sa culotte, signe indéniable qu’elle apprécie ce que je lui montre.
    
    Peut-être causé par l’excitation de ce que je viens de voir, quand je me redresse en voulant reposer mon mouchoir, je heurte la sacoche de Carole. Celle-ci se renverse et le contenu se répand et vole un peu partout autour de la table.
    
    Avec une mine déconfite, je dis :
    
    — C’est vraiment ma journée de maladresses.
    
    Encore une fois Carole me rassure :
    
    — Oh ! Ce n’est rien, j’ai toujours la manie ...
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