-
Un samedi pas comme les autres
Datte: 08/10/2018, Catégories: ff, fplusag, extracon, inconnu, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral 69, occasion, Auteur: Bijanus, Source: Revebebe
... donne cette couleur si sombre. Attention aux taches, c’est un sacré colorant et ça peut vous détruire votre plus beau chemisier en quelques secondes. Carole sourit et boit quelques gorgées et repose son verre, on dirait qu’elle a repris un peu le dessus. Mon jus de fruit semble avoir des vertus insoupçonnées et lui avoir fait le plus grand bien. Dommage ! Voyons voir si cette potion magique sera toujours d’une aide précieuse pour Carole maintenant. Comme je me suis assise un peu plus profondément dans mon fauteuil, je suis obligée d’écarter un peu les jambes quand je me penche de nouveau pour attraper ses prospectus. Mais je n’ai pas l’intention de rester pliée en deux comme les dernières fois. — Laissez-moi quelques minutes pour lire ça un peu plus en détail, c’est un tel charabia pour moi. — Mais bien sûr ! Pas de problème. Prenez tout le temps que vous… Sa phrase reste suspendue en l’air, elle n’arrive pas à prononcer le dernier mot. Inutile de vous dire que je sais pourquoi. Je me suis redressée et allongée contre le dossier du fauteuil, mais au lieu de refermer sagement mes jambes, j’ai laissé celles-ci entrouvertes. Un espace équivalent à plus deux mains sépare mes genoux, exposant tout mon bas-ventre à son regard. D’autant plus qu’en m’adossant, j’ai un peu glissé en avant et la veste de mon kimono est remontée. Je peux tout à loisir observer Carole par-dessus les feuilles en papier glacé que j’ai dans les mains. Elle ne risque pas de s’en apercevoir, ...
... ses yeux sont rivés sur ma culotte et le reste. Afin de lui laisser croire que je n’ai pas remarqué son attitude, je clame : — C’est d’un compliqué vos trucs financiers, il faut vraiment prendre son temps pour arriver à traduire ça en un langage que mon pauvre cerveau puisse comprendre. Comme si cela pouvait m’aider à mieux réfléchir, j’écarte maintenant plus franchement mes jambes dans une position donnant l’impression d’être plus confortable. Je sens que cette nouvelle posture fait pénétrer plus profondément le tissu de mon string en moi. Carole est sur des braises, elle s’agite sur le canapé avec des gestes nerveux et visiblement involontaires. Elle fait une espèce de mouvement léger de va-et-vient tout en gardant ses yeux braqués sur mon intimité. Sa langue aussi a repris ses allées et venues sur ses lèvres. Je suis moi aussi en proie à de fortes bouffées de chaleur. Je sens que j’ai les joues qui brûlent et le reste de mon être qui s’embrase de plus en plus. Je ne sais si Carole peut le voir, mais ma chatte doit être une vraie fontaine et le brin de tissu qui me pénètre doit être complètement trempé par mon jus. Avant de perdre tout contrôle de moi, je repose les documents et sans demander son avis à Carole je me lève en disant : — Vous allez bien reprendre du jus de fruit ? Il est fabuleux, non ? Encore sous le choc de mon spectacle, Carole muette prend son verre dans la main et le porte au-dessus de ses genoux en un geste mécanique de robot. Je ...