COLLECTION ZONE ROUGE. Le squat, la suite. Fin de la saison II (7/7)
Datte: 07/10/2018,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... Brutus !
Mon chien se lève, le premier met sa main à sa poche et sort un cran d’arrêt.
- Rappelle ton chien sinon je le crève.
- Brutus couché.
Le chien m’obéit.
Avec des précautions, sa lame dirigée vers lui, il ouvre la porte des toilettes.
- Dis-lui d’entrer.
- Brutus.
Je tire sur sa laisse, pauvre con, il pourrait attaquer mais il entre, le noir referme la porte me livrant à ces trois hommes plutôt baraqués.
- Tu vas sucer ma beauté, vu ta gueule tu dois être une bonne pipeuse.
- T’as vu, avec les dents qui lui manquent, elle ne va pas nous mordre le noeud.
La première verge que l’homme me présente est celle du black au couteau, il me la met sur le cou, je sens qu’il appuie et je sens du sang couler.
- Fais-moi voir ce que tu sais faire, vide-moi les couilles.
Voilà pourquoi je vous disais que vous ne comprendrez pas que, pour une simple verge dans un squat, on puisse tomber si bas en oubliant même son propre fils.
Le train aurait pu me ramener vers lui, mais ma fuite est une fuite en avant.
Alors j’ouvre ma bouche, saisissant cette verge au gland noir très épais, couleur que je prends pour la première fois dans ma bouche.
Il me prend par les oreilles, une nouvelle fois, comme pour Muller, je lui fais une gorge profonde, il finit par m’arroser mes amygdales.
- À moi, laisse-moi la place.
Elle semble sucer divinement.
Quelle salope, elle doit avoir des heures de vol, mais je vais m’en contenter.
Bite moins ...
... importante que la première, j’ai plus facile à le faire décharger.
Moi qui étais insatisfaite, après le sperme léché sur le drap dans le bungalow, trouvant qu’il avait un goût de trop peu.
Ma bouche regorge de ce sperme, c’est bon, je ne dirais pas que j’adore, ce serait exagéré.
Mais la lame n’est pas loin.
Dans sa prison Brutus compatit à ce qui m’arrive et il pleure.
- Dépêche, laisse-moi la place on est presque arrivé.
Petite bite malgré sa couleur termine sa branlette dans ma bouche avant de remonter son pantalon et suivre ses copains qui ont ouvert la porte dès que le train s’est arrêté.
Je me soulève, j’appuie sur la poignée, Brutus sort et me lèche le visage.
C’est beau l’amour d’un chien pour sa maîtresse.
Le train repart, je me passe ma langue sur mes lèvres.
J’ai eu ma dose de sperme contrairement à ma frustration dans le bungalow avec Youssef.
« Mesdames, messieurs, nous arrivons.
Paris gare de Lyon, terminus de notre voyage… »
Des gens bougent dans le compartiment, je me prépare à descendre.
Par chance, je n’ai pas été contrôlée.
Je sors de la gare, je suis déjà venue, je sais qu’il faut prendre à droite sur les quais pour rejoindre le Trocadéro et chercher ce D’Artagnan.
Voilà, que pensez-vous de mon parcours ?
J’ai été un peu agressive en début de chacun de ces chapitres, je venais de vivre ce que j’ai raconté jusqu’à ce que je descende de ce train.
Quand je vous disais la femme abjecte que je suis devenue ...