Douce Aurore
Datte: 07/10/2018,
Catégories:
fh,
ffh,
jeunes,
couple,
vacances,
hotel,
douche,
Oral
initff,
couple+f,
Auteur: Tito40, Source: Revebebe
... fois sa grâce, je lui ai fait l’amour avec une grande tendresse, m’attachant à évacuer ces images fugaces du petit cul d’Aurore qui venaient agiter mon imaginaire alors que je baisais ma femme.
Le matin, comme convenu, nous nous sommes retrouvés pour le petit déjeuner. Immédiatement, Aurore et Sandrine se sont comportées comme deux vieilles complices, ou comme deux sœurs. Je sentais naître peut-être une amitié et une connivence, adorable, superbe, entre deux si belles personnes.
Et nous ne nous sommes pas quittés de la journée, trouvant que le temps courait trop vite.
Le soir, en terrasse au dîner, nous nous sommes éternisés à table, reparlant du « bon vieux temps ». Sandrine participait à la conversation en questionnant, et s’étonnant, et se marrant franchement parfois. Naturellement, nos souvenirs de nos escapades sont vite venus occuper nos propos. C’est d’ailleurs Sandrine qui la première a évoqué le sujet. Nous avions fait le tour de nos amis réciproques, communs ou non, de nos souvenirs de fac, des particularités de tel ou tel cours ou de tel ou tel prof.
Sandrine ne tourne jamais autour du pot. Elle m’en a fait encore la démonstration ce soir-là,
Alors que la conversation tournait un peu en rond, elle a évoqué l’admiration que j’avais, à l’époque, pour le corps juvénile d’Aurore.
— D’après Jacques, tu es la plus belle femme qu’il ait jamais rencontrée.
— Rien que ça ? répondit Aurore, sourire aux lèvres.
— Rien que ça, oui. Encore hier soir en ...
... rentrant, il m’a parlé de tes courbes parfaites, de la douceur de ta peau, de la chaleur de ton corps.
— Euh…
Le visage angélique d’Aurore venait de s’empourprer. Elle aurait sans doute voulu être ailleurs.
— Je te vois rougir, Aurore, mais il n’y a pas de raison. Et ne t’inquiète pas, je n’éprouve aucune jalousie.
— Tu sais, je n’ai plus le même âge ; en vieillissant, on n’embellit pas, lui a répondu Aurore, plus détendue.
— En te regardant, je me dis qu’il doit avoir raison. Tu es très belle. Je comprends que les hommes aient envie de te séduire.
S’en est suivi un long silence, durant lequel chacun hésitait à regarder l’autre dans les yeux. Sandrine seule avait l’air satisfait. Elle aime surprendre, elle aime mettre devant ses choix et parfois devant ses contradictions.
Pour rompre ce silence pesant, je suis allé au bar demander qu’on renouvelle nos boissons. À mon retour, Sandrine et Aurore étaient assises face à face, penchées en avant, leur visage proches l’un de l’autre. Sandrine tenait les mains d’Aurore dans les siennes. Elle lui parlait à voix basse. Elles se faisaient visiblement des confidences qui se sont interrompues à mon arrivée. Notre conversation est partie sur d’autres sujets, jusqu’à l’heure du coucher.
Alors que nous étions en chemin pour nous rendre à notre chambre, Sandrine m’a tiré par la main pour me faire arrêter.
— Jacques, je vais aller voir Aurore dans sa chambre. Ça t’ennuie ?
— Non, mais pourquoi veux-tu la voir ?
— Je veux ...