COLLECTION LES CHIENNES. Tout ça pour ça (3/8)
Datte: 06/10/2018,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... possession d’autant d’argent surtout avec une voiture aussi pourri ?
- Je vais retourner au poste, j’ai plusieurs choses à faire, mais avant suce-moi la queue.
Je vais voir ce que je peux faire pour t’éviter la prison.
Inutile que mes supérieurs sachent qu’en plus du cambriolage avec Christian ton mec, tu as essayé de soustraire des preuves à la justice.
La liberté des femmes comme moi dans ce pays est la même que dans le mien, en traversant la Méditerranée.
Je pensais trouver ma liberté, qui m’était refusée dans mon pays, mais c’est en partie de ma faute si j’étais restée dans la voiture au lieu de franchir la porte de ce vieux con de Jules.
Il me reste un doute avec cet inspecteur Jean-Pierre.
Il semble être tout sauf franc du collier, alors la faible femme que je suis, se sent obligée d’attendre la suite des événements.
Je m’agenouille, il a sorti sa bite.
Qui m’eut dit, quand je me suis échappée de chez mon père pour éviter un mariage avec ce que je pensais être un vieux, je me retrouverais rapidement à sucer des bites.
À me faire enlever mon pucelage me rendant impure à tous les honnêtes hommes marocains et pouvant me considérer comme une chienne avalant son os.
En France, être une salope, c’est une chienne.
Chez moi c’est une tigresse.
Je veux éviter de prononcer le mot employé dans nos familles pour une ...
... pute.
Je pense plus à mon argent perdu qu’à la bite que je suce, la baffe que je ramasse me ramène à ce que je fais.
- Où es-tu espèce de salope, aspire comme il faut, mets y de l’entrain ton salopard qui s’est fait enculer nous a dit qu’il t’avait dépucelé, fais-moi voir de quoi tu es capable.
Je m’applique, par chance il est bien monté, du moins du peu de comparaison que j’ai.
Mais sa verge longue est sans cette grosse veine que possédait celle de Jules.
Quand je rêvais jeune fille au prince des mille et une nuits, derrière ma burqa, me cachant au monde les rares fois où je sortais avec ma tante que je deviendrais la proie d’hommes en France.
L’inspecteur Jean-Pierre me prend par les oreilles et rythme ses coups de bite avant de me remplir la bouche et de sortir après la dernière goutte.
Je crache au sol, ce qui entraîne de sa part une nouvelle baffe.
- Je suis dans l’obligation d’aller au commissariat, l’équipe de jour est arrivée.
Il faut que j’aille m’occuper de Jules et ses copains.
Quand je reviens, je veux trouver cette pièce entièrement nettoyée, il va falloir apprendre à avaler mon sperme.
Il referme sa braguette, prends mes vêtements qu’il emmène sous son bras me laissant nu.
Il quitte la chambre, j’entends la clef dans la porte me coupant du monde, dans quel nouveau piège suis-je tombée et où tout cela va-t-il s’arrêter…