1. S'il te plaît, ne bouge pas...


    Datte: 06/10/2018, Catégories: fh, amour, volupté, massage, Oral Auteur: anonyme secrète, Source: Revebebe

    ... à laquelle tu ne résistes pas, et je verrai que tu te frottes doucement sur le matelas…. Mais je ne voudrai rien savoir de ton sexe encore…
    
    Alors mes mains descendront le long de tes cuisses, sur leur peau moins douce, plus velue que celle de tes fesses. J’y poursuivrai mes caresses, alternant mes mains et ma bouche, cueillant encore çà et là quelques gouttes d’eau. Je m’attarderai au creux des genoux, c’est un endroit qu’on oublie souvent, et pourtant si sensible… si doux à embrasser… J’aurai plaisir à caresser tes mollets aussi, plaisir à palper le renflement des muscles, et je n’oublierai pas tes pieds, que je toucherai avec fermeté pour éviter de te chatouiller.
    
    — Tourne-toi…
    
    Alors je verrai ton visage, mais je choisirai de l’ignorer pour l’instant. Alors je verrai ton sexe, mais je ne voudrai pas m’y attarder tout de suite. Des mains et de la bouche, je poursuivrai mon exploration : pieds, mollets, genoux, cuisses, toujours plus haut…
    
    J’écarterai doucement tes jambes pour atteindre la peau si émouvante de l’intérieur des cuisses. Je l’effleurerai longuement, dosant le contact, juste assez ferme pour n’être pas agaçant, aussi doux que possible cependant…
    
    Ma bouche succèdera à mes mains, et je prendrai tout mon temps. Lécher, embrasser, mordiller… remonter tout près des testicules puis m’éloigner de nouveau… revenir, partir…
    
    Tu ne seras plus du tout, mais alors plus du tout endormi…
    
    — S’il te plaît, ne bouge pas, laisse-toi faire, laisse-moi ...
    ... faire…
    
    Ma langue atteindra ton périnée, elle ira et viendra doucement, régulièrement, en appuyant fort sur la peau tendue. Je ne résisterai pas longtemps à l’attraction de tes couilles, après les avoir longuement léchées, je les prendrai dans ma bouche, pour les recracher ensuite doucement, l’une après l’autre, les deux ensemble… pas trop longtemps…
    
    En évitant délibérément ton sexe bandé, je m’intéresserai alors à ton ventre, puis à ta poitrine, je prendrai dans ma bouche tes tétons durcis, grenus, je les mordillerai, j’irai lécher tes aisselles, y chercher ton odeur, le goût salé de ta sueur.
    
    Tu gémiras, tu halèteras, je fuirai toujours ton regard.
    
    Puis je redescendrai vers ton sexe, et tu croiras que ton soulagement est proche…
    
    Mais j’éviterai soigneusement de le toucher, je lècherai la peau de ton ventre, tout autour de lui, plusieurs fois je dessinerai son contour, et j’aurai le plaisir de le voir grossir encore davantage.
    
    Je laisserai mes cheveux l’effleurer, tu te tortilleras pour qu’il me touche, mais je t’échapperai.
    
    Alors, je croiserai enfin ton regard, et je te demanderai :
    
    — Il y a quelque chose dont tu aurais envie ?
    — Tu sais très bien de quoi j’ai envie.
    — Si tu veux que je le fasse, il faut le demander, il faut trouver les mots.
    
    Tu soupireras, mais je verrai ton regard faiblir, et enfin, pour une fois, j’aurai raison de ton refus des mots, et tout bas, la voix cassée, tu lâcheras :
    
    — Suce-moi… Prends-moi dans ta bouche…
    
    Alors sans ...