Prendre sa respiration
Datte: 06/10/2018,
Catégories:
cocus,
vacances,
plage,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
confession,
Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe
... un fantasme, l’esprit exalte les sens. Mais moi aussi j’ai fait la même chose avec lui. Je l’ai caressé des lèvres et de la langue. Caresses très particulières qui n’ont rien à voir avec une fellation au sec.
— Chérie, tu m’en as fait la plus belle des démonstrations tout à l’heure : c’était divin ; jamais tu ne m’avais sucé si bien, et surtout si profond.
Martine sourit.
— Eh bien je suis heureuse que son enseignement puisse te servir.
— Coquine ! dis-je en lui caressant un téton ; continue.
— Au bout d’un moment il m’a fait comprendre de m’arrêter. Il a attrapé une capote qu’il avait dû laisser sur le bord pour en recouvrir sa verge. Ensuite, c’est un peu comme tout à l’heure avec toi : je me suis accrochée à lui et il m’a pénétrée.
— C’est vrai que c’est très agréable de pouvoir porter une femme avec pratiquement que la force d’une queue.
— Mais pas seulement. Lui et moi on s’est déplacés dans l’eau, descendant jusqu’au fond, remontant toujours soudés, jusqu’à ce que je… Bon, j’arrête, cela devient franchement glauque de tout te raconter.
— Comme tu veux. Je retiens qu’il faudrait que je me mette à la plongée si je veux égaler ce jeune homme.
— Tu as d’autres talents.
— Et cela a duré longtemps avec ce garçon? Tu l’as revu souvent ?
— Jusqu’à ce que nous partions en vacances, en août. À notre retour, il était parti. Et pour se revoir souvent, d’après toi ? Tu te souviens de cette caissière ? Tu te souviens combien de fois vous vous êtes vus, à l’hôtel ou ...
... ailleurs ?
— Mais non, pourquoi ?
— Parce que moi je surveillais chacun de tes gestes, et tu peux multiplier par deux tes rencontres pour savoir combien de fois je l’ai rejoint.
— Oh, je ne savais pas. Pourquoi ne pas m’avoir parlé ? Je te croyais insensible à mes escapades. Si je t’ai fait souffrir, je te prie de m’excuser.
— Oui, tu m’as fait souffrir, mais je dois reconnaître que ma vengeance était délicieuse. Puisque tu veux connaître tous les détails, j’ai eu beaucoup de plaisir, vraiment beaucoup avec ce garçon. Tu vois, je te dis tout.
Je comprends que pendant toutes ces années j’ai fait du mal à mon épouse. Et pourtant je l’aimais. Je l’aime toujours, mais je ne peux pas lui dire que notre sexualité était trop limitée et que je cherchais ailleurs un peu de fantaisie. Je n’avais pas compris combien ce fantasme dont elle m’avait parlé une fois et dont la réalisation avait été plutôt ratée – par ma faute, et je le reconnais – avant tant d’importance.
— Chérie, j’ai été un con. Je n’avais pas compris. Je suis content qu’avec lui tu aies pu te réaliser. Mais tout change. Regarde, depuis que nous vivons ici combien nous sommes redevenus des amants. Et à partir d’aujourd’hui, sur terre, sur mer et même dans les airs, je vais m’employer à me racheter.
— Dans les airs ? Je n’en demande pas tant ! dit-elle en riant.
— Mais sur terre… dis-je en rampant vers son intimité.
Je suis à genoux dans l’eau, mais la chatte de Martine est au sec. Encore humide pourtant, salée, ...