1. Prendre sa respiration


    Datte: 06/10/2018, Catégories: cocus, vacances, plage, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, confession, Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe

    ... Avez-vous possédé votre femme, en appui contre une table, un arbre, un mur en la faisant jouir ? Si oui, alors vous savez combien c’est bon, très bon, particulièrement bon. Une liberté, une spontanéité retrouvées, une envie de profiter du moment présent alors que vous sentez votre désir monter. Mais ce ne serait que bon si votre partenaire ne jouait pas le jeu. Et Martine, elle, s’est prise au jeu ! Mieux, j’ai découvert une Martine que je ne connaissais pas. Mais se connaissait-elle ainsi ? Coquine, aguicheuse, évoluant chaque jour un peu plus.
    
    D’abord juste un regard discret, et surtout des pointes de seins qui saillaient. Je comprenais à demi pensée. Puis un effleurement, juste en passant, avec un regard qui brillait dès que je comprenais. Et puis, une femme qui, sous prétexte de plaisanterie, me caressait une fesse, puis saisissait le dard qu’elle avait provoqué, avec ses lèvres comme suprême récompense avant de venir s’empaler sur moi. Alors celle qui me faisait face, celle qui ondulait sur ma bite, celle qui se pilonnait, celle qui n’avait plus honte de se caresser les seins et le clitoris alors que je la regardais, alors, oui, alors cette femme, ma femme, devenait ce que j’avais toujours rêvé.
    
    Nous coulions des jours heureux, et la canicule n’arrêtait pas nos étreintes.
    
    Et un soir, tard, en rentrant de la plage, alors que Martine est encore sous la douche, je la rejoins, pressé de lui faire profiter de mon envie. C’est plus que bon, Martine m’ayant sucé avec ...
    ... plus de gourmandise que d’habitude et s’étant offerte avec envie. Elle vient juste de jouir alors que la bourrant encore je l’entends me dire :
    
    — Je suis d’accord pour me baigner nue si nous faisons l’amour dans l’eau.
    
    Sur le moment je ne réagis pas, encore totalement concentré sur ma bite que je meus délicieusement dans une chatte crémeuse de mouille. Mais après avoir craché mon foutre, la tension sexuelle relâchée, ses paroles me reviennent : « baigner nue ». C’est vrai que depuis quelque temps je taquinais Martine en lui disant que la plage naturiste n’attendait que nous, que c’était ridicule de ne pas oser se montrer, qu’elle serait certainement appréciée par tous ces hommes dont elle trouvait la nudité flageolante et triste à mourir. Mais non. Elle rétorquait qu’elle me gardait l’exclusivité !
    
    « Faire l’amour dans l’eau » me rappelait une expérience vécue aux États-Unis il y a bien vingt ans. Là-bas, les lits étaient XXL et les baignoires en accord avec la corpulence de certains. Alors que Martine traînait dans son bain et que je passais à côté, elle m’avait happé dans un mouvement dont elle n’était pas familière. J’avais été étonné de cette caresse de la main sur mon sexe, et encore plus qu’elle m’avait sucé dans la foulée. « Tu viens avec moi ? » avait-elle demandé. Je m’étais glissé dans l’eau chaude et parfumée. Martine avait mené les ébats, ce qui n’arrivait jamais. Elle s’était littéralement baisée sur ma queue. Une queue que j’avais bien du mal à garder en ...
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