Prendre sa respiration
Datte: 06/10/2018,
Catégories:
cocus,
vacances,
plage,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
confession,
Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe
... cela m’excite.« Tiens ! Prends ça ! Et ça encore ! » pensé-je en la bourrant si fort que nous descendons dans l’eau. Déjà elle doit se cambrer pour reprendre sa respiration.« Si cela se trouve, tu dois t’imaginer avec lui… Salope ! Cochonne ! » pensé-je alors que moi aussi j’ai dans la tête mon épouse couverte par un autre que moi, mâle aquatique, mais ayant ce qu’il faut pour la faire jouir. Mon excitation est totale. Jamais je n’ai bourré ma femme ainsi, de façon si bestiale, comme on doit baiser une putain alors qu’on a été privé de sexe pendant longtemps.
Une main sur son épaule, l’autre tirant son chignon, je me redresse pour mieux la posséder. Sa croupe est une offrande, et une seconde j’ai l’idée de glisser ma queue dans son cul, mais je sais qu’elle ne voudra pas.« À moins que… peut-être que lui… » Je sais par expérience qu’on refuse rarement à son amant alors que le mari trouve porte close.
Oh, que c’est bon… Le plaisir me submerge et je me libère dans cette fente toute à moi.
— Oh, mon chéri, c’était très bon ; tu t’es surpassé, et j’ai même aimé ta violence. Tu vois que toi aussi tu apprécies mon fantasme de l’eau ? Merci. Merci.
Martine me remercie de la plus délicieuse des façons en couvrant mon visage de baisers.
Bien évidemment, nous revenons le lendemain, mais cette fois-ci le pique-nique passe après, d’autant qu’en arrivant la marée a déjà libéré la piscine.
Moment magique où Martine refait sa fellation sous-marine, sauf que cette ...
... fois-ci mon mandrin est déjà en grande forme alors qu’elle plonge pour me gober. Je ne m’explique pas comment le fait d’être sous l’eau lui permet de me prendre en grande partie, alors qu’en surface elle se contente de bien moins. Mais c’est bon, et que dire de sa façon de se posséder comme la veille, mais en se laissant partir en arrière, littéralement couchée sur l’eau retenue par mon pieu et ses jambes autour de mon bassin ? Je l’aide de mon mieux en lui tenant les hanches.
Le plaisir est partagé, offert, avec une jouissance clamée aux cieux.
Nous nous reposons en mangeant, mais Martine me questionne :
— Hier, j’ai dit que je n’étais pas intéressée par les détails de tes coucheries, mais je crois que finalement j’aimerais savoir.
— Tout ce que tu veux, mon amour. C’est du passé pour moi. Un moment de faiblesse.
— Alors, réponds-moi franchement. Je comprends une maîtresse comme la caissière, plus jeune, plutôt mignonne, mais certaines autres… et encore, je ne dois pas les connaître toutes. Certaines avaient mon âge et, excuse-moi de te le dire, étaient plutôt moches.
« Oh-là-là… Comment expliquer sans la froisser ? »
— C’était une époque où je me sentais mal. J’avais l’impression que nous étions dans un tunnel et que tout était programmé à l’avance. Que rien de nouveau ne pourrait nous arriver. Et puis aussi, il faut l’avouer, une envie d’aller voir ailleurs. Tu comprends, chérie, nous étions ensemble du matin au soir.
— Cela, je le comprends. Moi aussi je ...