1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1125)


    Datte: 05/10/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... servait de repas. Après ce repas du soir, Roger revint et me délivra enfin de mes liens. Il dut m’aider à me relever tant j’étais tétanisée des muscles. Les crampes dans les mollets et les cuisses étaient telles que je n’arrivais pas à me tenir debout.
    
    - A quatre pattes me dit-il, tu seras mieux !
    
    Effectivement, dans cette position, j’étais plus à l’aise, étirant de temps en temps ma jambe droite, puis la gauche, goûtant à cette « liberté » de mouvements. Dans cette pose, il regardait mes voûtes plantaires, abimées par les pointes… Après vérification, il m’ordonna :
    
    - Reste sur tes genoux mais relève tes pieds vers moi !
    
    J’exécutais rapidement son ordre. Placé derrière moi, il prit sa cravache et commença, entre les orteils et le talon, un labourage systématique de ma voûte plantaire, évitant les orteils blessés. Les coups étaient secs, puissants, réguliers, je hurlais tant ils ravivaient mes douleurs mais au bout d’un moment, je recommençais de sentir mon ventre se creuser, ma chatte et mon cul, encore dilatés, se remettaient à vibrer comme appelant un mandrin… l’excitation prenait le dessus sur la douleur. Alors que je luttais mentalement contre cette demande excitante de mon corps, demande que je trouvais anormale, les coups de cravache continuaient de tomber, claquant sur ma peau, et ma résistance mentale s’amenuisant de minute en minute, je me mis à mouiller terriblement, j’avais honte mais en même temps, j’aimais ce qui m’arrivait en un curieux mélange de ...
    ... honte et de plaisirs. Les coups terminés, Roger raccrocha sa cravache à sa ceinture mais m’ordonna :
    
    - Laisse tes pieds ainsi relevés !
    
    J’obéissais bien sûr, tandis qu’il apportait un sac nouveau et m’expédiait dehors. Je sortis ainsi, à quatre pattes, pieds relevés en l’air en appui sur mes mains et mes genoux. L’air vif me glaçait, à la porte des autres cachots, d’autres esclaves, comme moi, étaient dehors, dans la même position. On se regardait mutuellement sans un mot. Dans mon cachot, j’entendais Roger remuer des choses en métal, puis :
    
    - Allez revient, m’ordonna-t-il !
    
    Tandis que je retrouvais Mélanie dans la même pose, il avait tout changé de mon côté. M’attrapant par les cheveux, il me tirait en un autre endroit du cachot, face, cette fois à Mélanie. Arrivée au mur recouvert de moisissures, mur qui suintait d’humidité, il me fit me tourner sur place, toujours tenue fermement par les cheveux, et me plaqua les fesses et les pieds contre le mur. J’étais toujours à genoux. Sur le mur, trônait un anneau, duquel partaient deux crochets avec pour le premier une chaîne ayant en son extrémité, un collier métallique, et du second, deux autres chaînes terminées par des colliers de même nature. Roger me fit me redresser et attacha mon cou à l’une des chaînes, tandis qu’il enfermait mes chevilles avec les deux autres colliers. Les chaînes étaient si tendues que j’avais les voûtes plantaires collées au mur ainsi que les fesses, tandis que la chaîne me tenant par le cou, ...