1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1125)


    Datte: 05/10/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    La Comtesse et son clitoris – Hors-série - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite de l'épisode N°1107) –
    
    - Tu es une bonne chienne en chaleurs bonne pour le cul …
    
    Cette première journée se passa ainsi, toujours attachées et juchées sur la pointe des pieds. Mélanie semblait accepter sa servile condition et était beaucoup excitée. De mon côté, je commençais de ressentir de curieuses sensations. Positionnée comme je l’étais, mes orteils me faisaient souffrir terriblement, mes articulations d’épaules également, je ne pouvais pas bouger, et mes cuisses étaient en feu, bloquées qu’elles étaient par des crampes… Nous étions silencieuses, Mélanie et moi, comme méditant, chacune de notre côté sur notre condition. Depuis les autres cachots, des cris nous parvenaient, cris mêlant souffrances et plaisirs jouissifs. Nous entendions claquer des fouets, mais en même temps ou plutôt, quelques secondes plus tard, de longs cris de jouissances nous parvenaient aux oreilles. Tournant son regard vers moi, Mélanie me dit, tout bas :
    
    - Tu commences à mieux comprendre ce qui se passe ?
    
    - Je ne sais pas, répondis-je, je suis troublée … et excité même, par tout ça
    
    - Oui, tu en jouis, toi aussi…
    
    - Ah oui, dis-je devant reconnaître cette incroyable réalité !
    
    - Tu vois, poursuivis Mélanie, ces poses dures à tenir, te font souffrir, mais en même temps, ne t’empêchent pas de jouir…
    
    - C’est vrai
    
    - Elles te permettent de réfléchir à ta ...
    ... véritable nature et d’en trouver du plaisir à être que tu es…
    
    Tentant de soulager quelque peu mes orteils, mais en vain, je répondais :
    
    - Mais je ne suis pas maso, quand même, j’ai vraiment mal !
    
    - Je ne t’ai pas dit que tu étais maso, je t’ai dit que la douleur et l’immobilisation douloureuse qui est la tienne en ce moment, ne t’empêche nullement de jouir, ce n’est pas la même chose. Tu jouis, parce que Roger t’excite par ce qu’il te fait, tout en souffrant en même temps. Et ne me dis pas que tout en souffrant, tu n’aimes pas ce qu’il te fait.
    
    - C’est vrai ! Oui c’est vrai, j’aime ce qu’il me fait, je l’avoue...
    
    La journée était bien avancée, Roger passait quelques fois, nous regardait toutes les deux, têtes baissées, comme vérifiant notre état. Lorsqu’il voyait que tout « allait bien », il décrochait la cravache qui pendait toujours à sa ceinture et recommençait ses coups, d’abord et en premier sur Mélanie puis ensuite sur moi. Avec Mélanie, il se concentrait surtout sur ses seins et le dessus de ses cuisses, tandis qu’avec moi, c’était à l’intérieur de mes deux seins, sur les côtés, les tétons et également l’extérieur de mes cuisses. Aussi bien Mélanie que moi, étions trempées à la fin de la séance, à l’évidence cela nous excitait d’être traitées ainsi. Pour les repas, de jeunes femelles, nues portant collier, venaient nous faire manger. Dans leurs mains, une écuelle en bois, qu’elles nous tendaient devant la bouche, et nous devions laper la bouille nourrissante qui ...
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