1. Manoeuvres au noir


    Datte: 05/10/2018, Catégories: ffh, fffh, couleurs, extracon, fépilée, douche, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral préservati, pénétratio, Partouze / Groupe Auteur: Ari Duparc, Source: Revebebe

    ... bouton du gaz et vraoum ! C’est le mauvais bec qui s’enflamme et qui fond en général, le truc qui repose dessus et qui ne devrait pas. Fort de cette expérience, je me retourne vers les promeneuses de Yorkshire et me renseigne.
    
    — Bonjour Mesdemoiselles.
    — Toi, t’es un galant, hein ! Madame, me répond la plus grande, en pointant un doigt muni d’une alliance de chez « Cuivre&Zinc ».
    — Bel anneau ! C’est quel bouton chez Ronaldo ?
    — Ronaldo, hein ?
    
    Elles me détaillèrent, s’arrêtant un instant sur mes points cardinaux.
    
    — Lui aussi, c’est un bel homme ! Allez viens, on va t’y conduire. Les sonnettes, elles ne marchent pas, hein. L’électricien ne finit jamais ce qu’il a commencé. Il dit toujours qu’il est trop occupé. On sait bien qu’il a beaucoup de clientes qui font « boutique son cul ». Les sonnettes ne marchent jamais dans ces endroits-là, hein.
    
    J’adore cet accent familier. Pas toi ? Il me donne l’impression d’être toujours le bienvenu.
    
    La plus grande n’arrête plus de palabrer. Le temps d’escalader une rampe d’escalier digne du lion de Waterloo, je connais à peu près tout sur les mœurs de la maison. J’apprends, entre autres, que mes déesses noires travaillent à la chaîne chez Citroën et « vidrexent » à longueur de journée des pare-brise de C3, que l’électricien s’appelle Marcel, travaille au noir, et est porté sur la chose. Et plus important, qu’une « blanche » rend visite tous les jours à quelqu’un de l’entrepôt, mais qu’on ne sait pas quel appartement. Je ...
    ... relève l’info au passage et tel un fin limier, je remue la queue de contentement. C’est normal, c’est raccordé à la boîte à réflexes.
    
    Marche après marche, je me surprends à zieuter les culs magnifiques qui oscillent comme deux balanciers bien huilés. Popaul commence à s’agiter, ce qui présage plein de bonnes choses vu que le manuel fourni avec, recommande de bien l’agiter avant l’emploi. Avec l’expérience, il a même appris à le faire tout seul. C’est malin ces p’tites bêtes-là.
    
    — Voilà. C’est ici chez Ronaldo.
    
    Nous haletons comme des escaladeurs d’Everest. Quoique les médors et mézigue, on est plus accablés pour les raisons que tu sais déjà.
    
    — Toc toc et retoc.
    
    La porte dit qu’il n’y a personne. Déçu, je lui dis qu’elle aille se faire foutre. Bernadette me répond :
    
    — Quand tu veux, chéri !
    
    La suite relève du domaine privé, mais comme t’es devenu un pote de chez Revebebe, je m’en vais tout te dire.
    
    Bernadette, c’est une des turbineuses de chez doubles chevrons et Cie. Elle me voit abattu et se fait mettre au courant du pourquoi du comment.
    
    Avec sa copine Annie, elles m’invitent à boire une tasse de café des mille collines, et nous voilà, plus détendus dans le salon coloré de madame sous biroute, puisqu’elle porte une alliance.
    
    — Je vais faire le kawa, hein. Mais pour toi, dit-elle en me narguant, ce sera un whisky. Tu l’as bien mérité.
    — Mais je …il n’est que dix heures du mat !
    — Pas de « mais je » avec moi, hein.
    
    En connaisseuse, elle revient ...
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