Week-end avec mon Maître - 1
Datte: 06/02/2018,
Catégories:
ff,
ffh,
fsoumise,
hdomine,
soubrette,
humilié(e),
contrainte,
fgode,
fdanus,
sm,
yeuxbandés,
fouetfesse,
piquepince,
tutu,
Auteur: Petite Sévy, Source: Revebebe
... et me suis attelée à baisser mon string en tentant de me déhancher de manière sexy, mais vite rappelée à l’ordre par le plug. Une fois mon string au sol, vous avez posé une main sur mon dos et m’avez fait courber le buste. Cette même main a ensuite écarté mes jambes puis légèrement mes fesses pour venir inspecter que vos ordres étaient bien respectés. Ils l’étaient. Vous en avez profité pour tirer très doucement sur la cordelette des boules de geisha, ce qui m’a fait sursauter et donc vous a fait rire.
— Bien. Agenouille-toi à côté de moi, par terre au bord du lit et attends sagement que ton Maître petit-déjeune correctement.
Je me suis donc assise et je vous ai regardé en attendant patiemment.
— Baisse les yeux et attends comme ça, je ne veux pas te voir bouger, et mets tes mains dans le dos.
J’ai attendu comme ça quelques minutes. Quelle sensation difficile de devoir lutter contre ma curiosité et contre mon envie de vous voir. Et, malheureusement, ou heureusement, je ne sais pas, j’ai entendu un bruit et j’ai donc levé la tête et les yeux. J’ai vu votre visage changer de couleur d’un coup…
— Tu ne sais donc pas ce qu’est un ordre ?
Votre ton de voix est devenu très cinglant et j’ai senti toute la colère qui était en vous à ce moment-là ; je me suis sentie vraiment toute bête, toute petite.
— Debout, dépêche-toi et ne me regarde pas avec cet air tout triste, tu as transgressé mes ordres et tu sais que tu dois en payer le prix.
— … mais…
— Ne sois ...
... pas plus insolente que tu ne l’es déjà. Debout, j’ai dit ! Tourne-toi et va ouvrir le premier tiroir de la commode.
Je me suis levée pour me rendre vers la commode. Mon cœur battait fort et mon estomac était noué parce que je me sentais vraiment fautive. J’ai ouvert le tiroir et c’est avec une certaine surprise que j’ai découvert une cravache en cuir noir, longue et surtout très large. J’ai eu un petit temps d’arrêt avant de la sortir mais vous m’avez demandé de m’activer. Je vous l’ai tendue et vous l’avez saisie avec une certaine fermeté.
— Tourne-toi, tu vas être punie pour ta faute et je ne veux pas entendre un seul son sortir de ta bouche sinon je double les 20 coups que tu mérites, c’est bien compris ?
— Oui, Maître, très clair.
Je me suis donc tournée et le premier coup s’est abattu très violemment sur mes fesses. Très dur de ne rien laisser transparaître. Le premier coup me chauffait déjà beaucoup et je craignais énormément les suivants. Un autre. Aussi intense que le précédent. Une brûlure intense mais néanmoins paradoxalement excitante. Bien que je me sente très fautive et vraiment bête de n’avoir pas respecté un de vos ordres, alors que je ne l’avais pas fait exprès et que j’avais relevé la tête presque machinalement, je me sentais excitée par le fait que vous me battiez de la sorte, d’autant que les coups secouaient les boules en moi. Les autres coups furent de plus en plus intenses et il devenait de plus en plus difficile de n’émettre aucun son tant la ...