Week-end avec mon Maître - 1
Datte: 06/02/2018,
Catégories:
ff,
ffh,
fsoumise,
hdomine,
soubrette,
humilié(e),
contrainte,
fgode,
fdanus,
sm,
yeuxbandés,
fouetfesse,
piquepince,
tutu,
Auteur: Petite Sévy, Source: Revebebe
... je ne tombe pas, parce que je n’étais pas rassurée… puis elle a lâché ma main, me laissant au milieu de nulle part sans savoir qui était là autour de moi.
— Bonsoir, petite Sévy.
Vous, votre voix douce mais ferme à la fois, mon cœur battant encore plus fort, mais en même temps j’étais rassurée de vous savoir là, à mes côtés, parce que je savais que, quoi qu’il se passe, vous veilleriez à ce que j’aille bien et que je me sente bien.
— As-tu fait bon voyage ?
— Oui, Maître, merci.
— Stressée ?
— Très, mais rassurée que vous soyez là.
— Tu te demandes ce que tu fais là, n’est ce pas ?
— Oh oui, Maître !
— Ne t’en fais pas. Il te t’arrivera rien que tu ne désires vraiment et tu le sais. Tu es là pour être mon esclave et ma chienne, un week-end entier, je te veux entièrement à ma merci. Cela commence maintenant. Je vais te guider jusqu’à ta chambre pour que tu puisses prendre une douche. Sur le lit, tu trouveras ce que tu dois porter. Tu n’auras le droit d’enlever ton bandeau qu’à partir du moment où je serai sorti de la chambre. C’est clair, petite Sévy ?
— Oui, Maître, très clair.
Mon coeur a bien failli sortir de moi tellement il battait fort. J’étais très heureuse à l’idée de vous appartenir totalement lors de ce week-end, d’être vôtre l’espace de quelques jours tout en ignorant ce qui pourrait se passer.
Vous avez pris ma main et m’avez guidée dans une pièce en me tenant les mains et en riant du fait que je les tienne très serrées. C’était une manière ...
... pour moi de ressentir encore plus votre emprise et la protection dont vous faites preuve sur moi. J’ai entendu la porte se refermer et j’ai donc enlevé mon bandeau. Il m’a fallu quelques minutes pour que mes yeux s’acclimatent à la lumière et, quand ils sont revenus comme à l’accoutumée, j’ai pu voir sur le lit, non sans une certaine surprise, les vêtements qui m’étaient réservés. Un string et des pinces à seins reliées par une chaine. Il n’y avait que ça… J’ai bien essayé de trouvé le reste mais il n’y avait vraiment que ça…
Je suis allée sous la douche en traînant de longues minutes sous l’eau chaude, savourant le fait que je sois là et profitant de la chaleur pour me détendre et reprendre mes esprits après cette intense émotion. Après m’être séchée, j’ai passé ce que vous aviez prévu pour moi. Les pinces ont été assez douloureuses à installer mais c’était largement gérable comme douleur, j’avais déjà eu l’occasion de goûter à plus intense. J’ai hésité à sortir de la chambre car il n’y avait aucune consigne pour cela. Forte de ma curiosité, je suis donc sortie et j’ai avancé timidement à travers le couloir pour arriver dans une grande pièce où de la musique se faisait entendre. De la musique classique… Je suis entrée dans la pièce et vous étiez là, assis dans un grand fauteuil, les jambes croisées, un peu comme dans certains films où l’on voit le patriarche dans cette position évocatrice de symboles et donc d’excitation.
— Avance, petite Sévy, n’aie pas peur, viens te ...