1. Au café de mon copain Zac (1)


    Datte: 06/02/2018, Catégories: Trash, Auteur: Kaidan, Source: Xstory

    ... l’air pas mal. J’aimerais bien lui claquer ses grosses fesses. Je commence même à bander dans mon jeans délavé. Je dois avouer que je n’ai pas pu aller me soulager aux putes la semaine passée. Suite à une malheureuse erreur de calcul, j’ai dépensé un peu trop de mon blé au café.
    
    — Tu vas commencer par nettoyer par terre, t’as tout trempé en te ramenant en même temps que c’tte pluie. Ensuite, on verra pour ce qui est de t’engager ma chérie.
    
    La gonzesse semble étonnée autant par la demande que par la façon dont Zac lui cause, mais sous le regard sérieux qui lui est adressé, elle répond par la positive et se lance à la poursuite de son futur patron qui entre déjà dans la réserve. Elle l’attend sur le pas de la porte, et ce con revient avec un torchon. Un torchon ? Je suis surpris que ce con en ait même un, mais soit. Je continue de la mater s’affairer, elle a l’air un peu conne cette femme. Elle n’est même pas payée, ni même engagée et pourtant, elle récure le sol crasseux avec une détermination presque fanatique.
    
    A trop la mater remuer sa croupe dans tous les sens, j’ai la queue qui commence sérieusement à me brûler. Je n’ai pas d’autre choix que d’ouvrir ma braguette pour déballer la bête, c’est une question de vie ou de mort, vous comprenez. Libérée, délivrée, ma teub est aux anges et je commence à la soulager, d’un coup de poignet lent, les yeux posés sur cette femme, mais surtout sur son cul moulé. Arrive enfin le moment inévitable où la belle remarque que je ...
    ... m’astique en la matant, et ce avec un tel naturel qu’elle ne semble pas savoir que faire ni comment réagir pendant de longues secondes.
    
    Le loquet de la porte grince en verrouillant le café, au même moment, la bonne femme sursaute, elle tient le balai fermement contre son corps, comme s’il s’agissait d’une boue de sauvetage qu’on lui aurait lancé dans une mer déchaînée.
    
    — Ecoute ma mignonne, il est temps de montrer nous montrer tes qualités, à moi, et mon copain, si tu tiens à bosser pour moi, tu vois. Il est encore temps de te tirer, j’ouvre la porte, et tu te casses, par contre, si tu restes, tu vas passer à la casserole, tu me comprends ? dit Zac.
    
    Elle devient blême et lance un regard apeuré vers la sortie, mais reste immobile et silencieuse.
    
    — Oh, chérie, tu m’entends ? Fais un choix ou je prends une décision pour toi cocotte, continue Zac.
    
    — Euh... C’est... Euh... Mon mari m’attend dehors.
    
    — J’prends donc la décision pour toi.
    
    Zac s’avance vers la gonzesse, celle-ci ne se dérobe pas. Il tend la main pour récupérer le balai, la voici désarmée, mais croyez-moi, on n’est pas des enfoirés, on va vite se charger de l’équipement de nouveau en lui présentant nos deux matraques à manipuler. Je quitte enfin ma chaise pour les rejoindre, le braquemart en main, je vois que mon pote m’a imité.
    
    — Montre-nous tes nibards, dis-je enfin avec l’avoir longtemps observée en silence.
    
    Tout en m’astiquant, je la regarde se désaper, déboutonner un à un les boutons de son ...