Le secret incestueux de ma femme (8) - Histoires de Sexe

Le secret incestueux de ma femme (8)

... sur mes deux pieds, je la prends par les hanches et je commence un lent va-et-vient ; je sens son cul serrer ma bite, c’est délicieux. J’accélère mon mouvement et je commence à faire taper mes couilles contre son cul alors que je m’enfonce jusqu’à la garde dans son trou ! Ça y est, je l’encule profondément devant les trois autres acolytes qui regardent de près mon travail ! C’est terrible.

Je lui défonce le cul un bon moment pour bien en profiter et pour lui montrer qui est le patron ! Mais cette salope semble prendre son pied sous mon assaut. Je ressors de temps à autre ma queue pour laisser son trou béant à la vue de tous. Et je replonge dans son fondement. Et je lâche :

— Putain, qu’elle est bonne, cette chienne ! J’adore son cul ! Allez les gars, préparez-vous, vous allez prendre la relève ! Prenez-lui le cul ou la chatte à votre convenance ! Vous pouvez jouir dedans quand vous voulez !

On l’a encore défoncée au moins une demi-heure, les mecs arrêtant de la baiser lorsqu’ils sentaient qu’ils allaient venir pour faire durer le ...

... plaisir et pour boire une bière entre deux. C’était énorme de voir ce travail d’équipe sur cette putain qui prenait grave par tous les trous, car on s’occupait également de sa bouche étant donné qu’elle était disponible. Chacun y allait bon train, changeant de trou à sa guise !

Paul vint en premier, puis Joseph, et enfin, son père... tous les trois dans sa chatte alors que je me suis déversé dans son cul ! On a pris un pied fou avec ma fiancée qui s’est bien donnée ! Nous l’avons débarrassée de son entrave et nous avons bu un coup pour débriefer la partie.

Ma chérie était ravie de la journée qu’elle venait de passer et nous a promis de remettre cela dès que possible. Elle se tenait debout, elle avait juste revêtu ma veste entre-ouverte et remit ses mules... On pouvait distinguer du sperme couler le long de ses jambes jusque sur ses pieds... elle était magnifique en prostituée repue.

Il n’était pas loin de minuit, nous avions la tête embrouillée et les couilles vidées. Nous sommes rentrés gentiment à la maison pour un repos bien mérité !