Le secret incestueux de ma femme (8) - Histoires de Sexe

Le secret incestueux de ma femme (8)

... la seule femme à la maison depuis que maman est partie...

— Oui, on s’en souvient bien !

— Eh bien, j’ai dû faire ce qu’il faut pour la remplacer ! Ce fut très dur au départ, mais plutôt que d’y aller à reculons, je me suis appliquée à leur donner satisfaction, c’est devenu un jeu et j’ai fini par aimer ça... ensuite j’ai rencontré mon chéri qui a rapidement voulu que je couche avec d’autres mecs... la boucle était bouclée. Nous avons fait d’une pierre deux coups !

— Ah OK, on comprend.

— Et c’est quoi la suite du programme ?

— Je ne sais pas, vous avez envie de quoi ?

— On voudrait encore s’amuser avec toi Darla !

— Je veux bien... Dites-moi ce qui vous fait envie !

— Moi, j’aimerais te baiser et profiter de ton corps ! lança Paul.

— Moi aussi, comme ton père !

— Quoi d’autre, mes chéris ?

— Et si on se la faisait tous les trois à la chaîne ! Tu le mérites, ma fille, tu n’arrêtes pas de nous allumer ! lâcha son père.

— Vous avez pris vos pastilles bleues, mes chéris, car il va falloir retendre vos vieilles queues !

— Oui, c’est fait depuis une heure ! répondit Bernard. J’ai fait la distribution !

C’est alors que je me décide à intervenir :

— Et si on l’attachait cette garce, vous pourriez en profiter à votre guise ? Ca lui apprendrait à se comporter comme la reine des salopes. Tu en penses quoi, Bernard ?

— Super idée, mais avec quoi ?

— Ne vous inquiétez pas, j’ai ce qu’il faut...

J’avais effectivement prévu mon coup, ...

... en vue de me venger de ma salope de fiancée qui commençait à se sentir un peu trop en confiance.

Ma chérie me lança un regard interrogatif alors que je m’éloignais jusqu’à la voiture, pour aller chercher la barre d’écartement quatre points et un ustensile BDSM bien utile que j’avais achetés discrètement pour lui en faire la surprise un jour. Ce jour était arrivé. Lorsque je suis revenu, j’ai été accueilli avec des acclamations de la part des trois compères. Pour une fois, ce n’est pas ma fiancée qui allait décider :

— Ton cocu te demande de virer ta robe ma chérie !

Elle s’est exécutée et s’est retrouvée, encore une fois nue, perchée sur ses mules rouges à talons aiguilles, et encore une fois somptueuse ; nous l’admirions tous !

— Allons dans la buanderie ; nous y serons plus tranquilles et au frais... je vais mettre un matelas au sol, proposa son père !

— Bonne idée ! enchaîna Joseph.

Ni une, ni deux, on se retrouve les cinq au sous-sol bien fermé cette fois-ci, nous allions pouvoir la faire gueuler comme une truie. Alors, j’ordonnai à ma future femme :

— Mets-toi le dos sur le matelas, chérie, et replie tes jambes !

Elle me regarde très interrogative, cette fois-ci, mais elle s’exécute. Je présente la barre, lui passe les menottes prévues à cet effet aux poignets et aux chevilles... Elle se retrouve assise les quatre membres immobilisés. C’est à ce moment-là que je sors ma dernière surprise, un bâillon que je présente à mes acolytes... Ma chérie tente ...