COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (21/23)
Datte: 01/10/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... voiture arrive, les deux mariés en descendent, commençant par Lison. Elle a une magnifique robe de mariée, je voulais participer à son achat, mais nul besoin, elle voulait se la payer.
Bustier mettant ses seins en valeur, un seul petit problème, vu son état, ils ont tendance à prendre tout l’espace, ils commencent à se développer, ce sera une bonne vache laitière pour nourrir mon petit-fils.
Vache laitière, je manque de pouffer de rire, la citadine que je suis doit être influencée par les personnes qui nous entourent.
Les hommes du village et leurs femmes jeunes voire moins jeunes n’auraient manqué pour rien au monde ce mariage, pardon ce double mariage, ils sont tous en tenue de travail, les vaches dans les étables les attendent pour la traite.
Je m’égare. Ma belle-fille, à part son bustier bien rempli à une longue robe avec une traine de deux à trois mètres. Je l’aurais choisi avec elle, je n’aurais pas trouvé mieux car la couturière par des pinces bien placées a su cacher sa grossesse.
Quant à Martine, sa robe est presque la même, sans traîne. Dans leurs cheveux la même couronne d’oranger et à leurs mains, un bouquet lui aussi identique. Seules les roses changent, rouge pour Martine, rose pour Lison.
C’est mon moment. Lucien au bras de sa maman va nous suivre, j’entre dans l’église sous les notes de la marche nuptiale jouée sur le vieil harmonium, je marche fièrement mon fils à mon bras.
• Chéri, ta maman a les pétoches…
Merci à Anne
COLLECTION ...
... ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (21/23)
Nous venons d’essayer le car de Lucas en nous promenant avec sur les coteaux du Dijonnais.
Profitant d’un coin tranquille et ombragé, je lui fais une branlette espagnole me faisant arroser de sperme quand il décharge sur mon visage.
C’est à ce moment que nous nous apercevons que la moustache en forme de guidon qu’il s’était collée sur le visage se retrouve collée sur ma chatte.
Il me passe un mouchoir tout propre sorti de la poche de sa blouse, je m’essuie le visage.
• Dis-moi, tu m’as ouvert l’appétit avec tes propos sur ta femme, sa maîtresse et son amant, sais-tu quelque chose ?
• Et toi, à la façon dont tu prononces ces mots, on dirait que tu sais déjà que depuis des années, ma femme me fait cocu, au début avec sa gouine de copine Maria et après avec son amant Simon, notre chauffeur.
• Comment l’as-tu su ?
• La dernière année où j’ai accompagné ces vieilles rombières dans leur pèlerinage, comme habituellement je traînais dans la ville.
• Et tu n’as rien dit !
• Pas folle la guêpe, je garde cela sous le coude, si un jour elle dépasse les bornes.
Je suis cocu, mais grâce à toi, je lui ai rendu la monnaie de sa pièce.
Remise en tenue décente, même si j’ai l’impression de faire bouche-trou, nous rentrons à l’entrepôt.
Un dernier baiser et retour chez moi, le mariage arrive à grands pas.
Enfin, la veille du grand jour est là.
J’ai chargé la voiture de Benoît avec nos affaires pour ...