1. La salope et la vierge


    Datte: 01/10/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Accent, Source: Hds

    ... mais sans succès. Alors, maintenant que nous venons de découvrir sa supercherie et le sort cruel et indigne qu’elle te réserve, permets moi de te dire mon affection . Dis un mot, tu seras l’homme de ma vie. Le seul. Je t’appartiendrai quand tu voudras, je suis à toi. Si tu le souhaites nous irons ensemble au cinéma.
    
    - Oui, mais à une condition, nous irons avec Paola et tu passeras ton temps à m’embrasser devant elle.
    
    - Pour te venger ? Non. Je ne suis pas un jouet
    
    - Sans condition parce que je t’aime.
    
    -Je suis seule à la maison, mes parents sont partis en croisière. Si nous n’allions pas au cinéma, nous pourrions regarder un film à la télé ou….faire l’amour. Tu verras, je suis vraiment vierge et je t‘offre ce à quoi je tiens le plus. Veux-tu de moi?
    
    Oubliés les baisers mensongers, les promesses trompeuses de Paola, oubliée sa trahison et ses projets honteux. Dans la chambre de Lola je dévêts un corps neuf. Je retire sa blouse entre des baisers de plus en plus fervents sur ses lèvres, dans son cou, sur le haut de sa poitrine. Je caresse un soutien-gorge et j’apprends à trouver les agrafes pour libérer deux seins mignons comme des tourterelles qui méritent des baisers dévorants. Je m’émerveille de la réactivité de ses tétons sous le frôlement de mes index. Lola rit de mon émotion, Lola est heureuse de se donner. Elle répète « mon amour », « mon chéri »
    
    Les boutons de ma chemise se défont par enchantement, nous nous embrassons encore, jupe et jupon tombent. Je ...
    ... pose mes lèvres sur un nombril effacé, sur le bombé de l’estomac. Mes mains s’attardent sur la taille fine. Et…je tremble de désir et de crainte. Puis-je, faut-il franchir la ceinture. Les yeux de Lola disent oui, son sourire m’encourage. Un doigt se glisse entre peau et élastique, un autre. Je consulte encore, je reçois l’ordre muet de continuer: « Je t’aime, aime-moi ». La culotte glisse à son tour, s’arrête aux genoux. Lola se courbe, aide la chute du tissu sur ses chevilles, dégage un pied, l’autre, s’occupe de baisser mon pantalon, hésite, agrippe mon slip et accompagne sa chute.
    
    Elle est penchée devant moi, je contemple la ligne de sa colonne vertébrale, la fragilité de sa taille et le surprenant rebond des hanches jusqu’à l’épanouissement de sa croupe. Elle dégage une impression de fragilité mais aussi de beauté tranquille et sure. Je ne soupçonnais pas l’émotion pleine de tendresse que je perçois à la vue de cette présentation sereine et tranquille d’un corps de femme jeune, sans complexe, décidée à me rendre heureux en se donnant sans calcul, parce qu’elle m’aime. Ces instants de l’avant, de l’approche, faits de timidité et de maladresse mais chargés du désir de plaire sans effrayer, sont des moments merveilleux, des moments qui marquent une vie, bouleversants, inoubliables et décisifs. Nous avons assisté à la victoire de la chair dans l‘herbe du bois, notre chair va connaître à son tour des plaisirs nouveaux mais Lola comme moi abordons ce passage avec le désir ...
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