Un mari bien imprudent...ou le chemin de la perversion... (2)
Datte: 06/02/2018,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: antonin mordore, Source: Xstory
... Françoise avait déjà accueilli des gens au comportement sexuel déviant, comme des personnes qui s’introduisent des objets dans le rectum et, ne pouvant les en sortir, en étaient réduits à aller aux urgences.
Françoise, gênée par le tour pris par la conversation, dériva le sujet sur le travail de son épouse qui était policière.
Avec un grand sourire, Anton expliqua que sa femme, Muriel, ayant le poste d’officier de police judiciaire alors qu’elle était major,( parité des postes oblige), était témoin de scènes parfois bizarres et excitantes.
Comme ce différend familial qui se réduisait en réalité à une femme zoophile qui, se faisant saillir par le doberman de la famille, sous les yeux de son mari, s’était retrouvée « coincée « avec l’animal…le mari terrifié par les réactions violentes de l’animal, avait alors appelé la police ne sachant plus quoi faire.
Sa femme Muriel et ses collègues s’étaient alors retrouvés face à l’épouse saillie et prise au piège par l’animal, qui affolé, commençait à lui labourer le dos de ses griffes.
Les policiers durent « tazer » la pauvre bête, provoquant également l’évanouissement de l’épouse, mais tout s’était bien terminé.
Françoise abasourdie par le récit d’Anton, ne savait quoi répondre, surtout que ce dernier lui lorgnait sans vergogne le haut de ses jambes, découvertes par le pardessus qui avait un peu glissé.
Françoise ce soir là, portait une robe un peu courte, et réalisant que la position assise lui dévoilait la ...
... lisière de ses bas, s’empressa de redescendre la robe et serrer les pans de son pardessus.
Anton allait prononcer un mot, quand le carillon de la porte sonna. Un autre voisin était venu avertir Anton que leur chat était coincé dans son pommier et qu’il n’arrivait plus à descendre, poussant forces miaulements.
Anton s’excusa et laissa Françoise seule avec son verre de whisky à la main.
Celle-ci complètement retournée par l’incongruité de la conversation, vida son verre d’un coup. Le liquide lui réchauffa l’estomac et une douce chaleur embruma son esprit.
Elle allait se décider à partir, ne voyant pas Muriel revenir comme son mari le lui avait promis, quand elle entendit une longue plainte venant du couloir.
Bien que le son soit étouffé par la distance, elle reconnut une voix de femme.
Inquiète elle se dirigea dans le couloir et s’aperçût que des bruits venaient du cellier.
Elle décida d’aller voir, sa voisine était peut être blessée et dans l’incapacité de se déplacer.
Elle descendit les marches et arriva dans une espèce de crypte médiévale reconstituée. Et ce qu’elle vit au fond de la pièce la sidéra…
Il s’agissait d’un donjon sadomasochiste.
Une femme était enchainée par les bras et suspendue au plafond, ses pieds touchaient à peine le sol.
Elle était nue à l’exception d’un porte- jarretelles en cuir et de bas résilles.
Deux homme, torse nu, habillés façon bourreau avec de gros ceinturons en cuir, flagellaient la malheureuse avec de longs ...