1. Un mari bien imprudent...ou le chemin de la perversion... (2)


    Datte: 06/02/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    Alberto, n’arrêtait pas de solliciter sa femme pour qu’elle lui montre la vidéo prise sur son téléphone portable.
    
    Il mourrait d’envie de voir ce qui s’était exactement passé…si sa femme avait joui, combien de fois, si le praticien l’avait vraiment fistée, comme Fanfan l’avait évoqué dans son fantasme, comment il l’avait baisée, etc.…
    
    Françoise n’en pouvait plus de ce harcèlement incessant ; elle, elle désirait simplement reprendre sa petite vie de bonne épouse honnête et irréprochable, loin des penchants incongrus de son époux.
    
    D’ailleurs elle devait bien le reconnaitre, elle s’en voulait beaucoup d’avoir vampé l’ostéopathe, d’avoir répondu aux provocations de son mari en s’abandonnant sexuellement à lui…
    
    Pourtant quand elle y repensait, quel moment intense, une heure peut être la plus érotique de sa vie.
    
    Elle, l’infirmière modèle, appréciée en société, avait fait l’amour avec ce beau jeune homme de différentes façons…et quelle jouissance il lui avait donné.
    
    Quand elle y repensait, son entrejambe devenait moite et elle sentait sa petite fente s’ouvrir.
    
    Mais maintenant tout cela était révolu, elle s’en était faite la promesse !
    
    Si son mari voulait assouvir ses fantasmes, il n’avait qu’à fréquenter une prostituée…mais après ce serait le divorce !
    
    Françoise ne voulait pas partager son lit avec un détraqué sexuel !
    
    Pourtant un soir, alors que Françoise était rentrée de l’hôpital où elle travaillait, fourbue et fatiguée de sa journée éreintante, ...
    ... elle trouva Al, réveillé qui l’attendait dans le lit…il était 22h30.
    
    Toujours insistant, à propos de la vidéo, il lui expliqua que cela était devenu une obsession…il n’en dormait plus, perdait l’appétit…IL VOULAIT SAVOIR ET VOIR ce qui s’était passé dans le cabinet de l’ostéopathe.
    
    Une sévère dispute s’engagea : Al traitait sa femme de petite salope qui cache bien son jeu, d’égoïste, et il louait sa propre tolérance « à l’égard des frasques de son épouse.»
    
    Devant tant de mauvaise foi, Fanfan éclata, elle le traita de pervers, d’obsédé sexuel, de « queue sur pattes », de rage elle saisit son Smartphone et pianota pour envoyer la vidéo sur le Mac familial.
    
    Lui rétorquant qu’il pourrait se branler en regardant les ébats de son épouse, elle lui dit qu’elle allait passer une heure chez la voisine, Muriel…elle, son mari et leurs enfants étaient des gens normaux au moins…
    
    Claquant la porte, elle se rendit à leur domicile, et sonna à la porte.
    
    Anton, la reçut chaleureusement et la fit entrer. Il lui proposa un whisky dans le salon, lui disant que son épouse était indisponible pour le moment…mais qu’elle pouvait l’attendre avec lui.
    
    Une conversation polie s’engagea, mais elle percevait au fur et à mesure des propos d’Anton, comme une sensation de malaise.
    
    Le regard brillant, en proie à une excitation, il lui posait des questions sur le service des urgences de l’hôpital et, de purement innocente, la conversation prenait un chemin scabreux.
    
    Il voulait savoir si ...
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