Sexothérapie (1)
Datte: 29/09/2018,
Catégories:
Trash,
Auteur: Emil, Source: Xstory
... sable humide, nous affrontons ensemble les vagues et les rouleaux, et nous séchons en profitant, côte à côte, du soleil du matin. Souvent, j’emporte un ballon pour m’amuser avec lui. Lorsque nous nous baignons, il ne cesse de me sauter aux épaules, ou de me pousser du museau pour me faire tomber dans les flots. Lorsqu’il y réussit, il me gratifie de joyeux aboiements. Au repos, le contraste entre sa somptueuse fourrure blonde et mon corps rougeoyant de soleil et son attitude d’attention excessive à mon égard attirent le regard des passants.
Par contre, lorsque ses maîtres ou mes hôtes me réclament un moment d’intimité, il va sagement se coucher dans la pelouse du jardin de notre résidence et s’endort. Luc, Aline et leurs amis sont aussi demandeurs que lui de ma complète et indécente soumission. Combien de fois ai-je dû, à l’heure de la sieste, accepter d’être prise en double par les garçons, ravie de sentir leurs deux sexes se caresser à travers mon fin périnée ? Combien de fois ai-je exulté sous leurs assauts sodomites, au milieu de la terrasse, au vu et au su du voisinage ? Leur jeu favori consiste à m’attacher nue à une petite table de jardin pour pouvoir plus facilement envahir ma vulve ou ma bouche sans même avoir à se déshabiller. Ils ne manquent pas, à chaque fois, de me couvrir de leur foutre et de me laisser ainsi de longues minutes exposée. Je les ai souvent sucés entre deux voitures sur un parking alors que je m’étais dénudée pendant le trajet pour mieux ...
... accepter leurs caresses intrusives.
Quant aux filles, elles ont fait bien pire dès qu’elles se sont retrouvées seules avec moi. Le jeu favori d’Aline consiste, après lubrification, à emplir mon cul et ma vulve de différents légumes de saison, puis de me prier, entièrement nue, de participer aux tâches ménagères. Je vous laisse imaginer le ridicule de mes douloureuses postures ! Pourtant, j’éprouve du plaisir à être ainsi fourrée et exposée à leurs regards lubriques. Elles m’ont exhibée, dans cet équipement, à quelques voisines mi-gênées, mi-ravies. Lorsqu’elles reçoivent pour le thé, je me glisse dans le plus simple appareil sous la table, mains liées dans le dos, pour dévorer toutes leurs chattes jusqu’à les amener les unes après les autres à l’orgasme. Elles combinent parfois les deux ce qui me permet de me forger une réputation de salope absolue dans tout le village. La nuit, je suis parfois réveillée par l’une ou l’autre venue me demander quelque privauté.
J’excelle dans le cunnilingus anal ou clitoridien au moins autant que dans la pipe.
Mais pourquoi, me direz-vous, te laisses-tu ainsi dégrader et avilir ? Tout simplement parce que c’est devenu pour moi le seul moyen de jouir. Sans l’humiliation et le regard réprobateur de ceux qui m’entourent, je ne ressens plus rien. Mon dernier amant, que j’ai idolâtré, m’a amenée tellement loin dans l’ignominie que celle-ci est devenue une deuxième peau. Lorsque quelqu’un (e) me plaît, j’ai envie que ma bouche s’occupe de son sexe ...