Sexothérapie (1)
Datte: 29/09/2018,
Catégories:
Trash,
Auteur: Emil, Source: Xstory
Le soleil filtre à travers les volets avec la douce ardeur du jour naissant. Dans la pièce voisine, quelqu’un s’affaire à préparer le petit-déjeuner avec une gestuelle maîtrisée qui ne laisse entendre que de petits chocs de vaisselle et des frottements difficilement identifiables. Je viens d’arriver la veille chez des amis, dans ce petit village au bord de l’Atlantique, pour soigner une longue période de repli sur soi semi-dépressive qui ne m’a pas quittée depuis une douloureuse rupture amoureuse. La fin de cette passion violente m’a laissée KO debout. La chaleur est telle que je supporte à peine le petit short et la courte tunique sans manches en élégantes larges mailles noires que j’ai achetés la veille dans l’un de ces nombreux magasins d’accessoires de plage qui peuplent les routes menant à la mer. Cette tenue s’est imposée à moi comme une évidence lorsque je me suis vue dans la glace. Elle me fait paraître encore plus indécente que si j’étais totalement nue.
Elle exhibe mon sexe épilé mieux que bien, dessine avec précision la raie de mes fesses, souligne ma petite poitrine un peu mobile aux aréoles peu marquées et aux tétons rendus proéminents par le frottement incessant du tissu. J’ai à nouveau besoin d’exister dans le regard et le désir des autres, et je compte sur ces vacances pour y parvenir. J’hésite à sortir ainsi de ma chambre même si mes hôtes m’ont déjà vue dans le plus simple appareil. Et puis zut ! Pourquoi se refuser d’être aussi terriblement ...
... désirable ?
J’ouvre la porte et m’engage dans le couloir où je tombe nez à nez avec mon hôte, Luc, qui d’emblée me semble très impressionné par ma tenue. Après un long face à face silencieux, ses bras puissants me repoussent vers la chambre et, une fois la porte fermée, ses mains s’activent avec fébrilité sur mes zones érogènes. Je n’ai pas le temps de prendre conscience de ce qui se passe que me voici à quatre pattes sur le lit, ma tunique à l’envers enserre ma tête, mes épaules et mes bras, mon short est baissé au niveau de mes genoux. Je suis au comble de l’émotion. Mon entrejambe est humide lorsqu’un doigt, puis deux s’y engagent. Quelques va-et-vient plus tard, je ressens le besoin de m’écarter plus. Je repousse le short...et un doigt en profite pour migrer dans mon cul où, trempé, il entre profondément. L’autre est rejoint par l’un de ses frères. Une deuxième main prend le contrôle de mon clitoris qu’elle branle avec vigueur. Je savoure l’offensive.
Un filet de salive sort de ma bouche et coule sur l’oreiller. Un frêle ruisseau de cyprine serpente sur mes cuisses. Mes tétons sont devenus durs. Tout mon corps tremble de plaisir et de désir. Je ressens une tension extrême dans mes muscles. Je voudrais écarteler mes organes pour faciliter encore cette prise de possession de tout mon être. Je crois que je vais défaillir ! Je sens vaguement Luc me prendre dans ses bras et sortir de la pièce avant de perdre le fil...
Lorsque je reviens à moi, je suis nue, allongée sur le ...