1. Mon éveil à la soumission Chapitre 10


    Datte: 28/09/2018, Catégories: Entre-nous, Les femmes, Auteur: Divinmarkiz, Source: Hds

    ... jouissait ; j’étais folle de joie de lui avoir fait découvrir ce nouveau plaisir.
    
    Irait-elle jusqu’à accepter ce que je ne lui avait pas encore proposé ?
    
    Je me retirais doucement, me déharnachais. Je voulais m’allonger à ses côtés.
    
    Je voyais ses yeux humides de larmes « Merci Fabienne ; mon cul et ma chatte sont à vous ; j’ai eu mal mais j’ai tellement joui ! » furent ses mots.
    
    « Tu as eu beaucoup de plaisir n’est ce pas » Elle hocha la tête les yeux baissés.
    
    « J’ai encore envie de maltraiter ta chatte »
    
    J’avais vraiment envie de la faire souffrir un peu plus et d’utiliser mon martinet.
    
    « Faites ce que vous voulez de ma chatte »
    
    Belle invitation ! Je gardais un souvenir aussi cuisant que merveilleux des sévices que Pierre m’avait infligés ainsi qu’à Sophie et je décidais que Zohra les subirait.
    
    « Viens dans la chambre »
    
    Je pris brosse et martinet . « Tu vas t’allonger cuisses écartées »
    
    Il n’y avait ni crainte ni interrogations. Elle se tenait offerte en attente. Le martinet posé, je m’assis sur son ventre et je passais la brosse sur les lèvres de son sexe et à l’intérieur de ses cuisses ; jamais elle ne se dérobait, je poursuivais jusqu’à ce que son sexe soit très rouge et à vif.
    
    « Ta chatte est maintenant bien sensible et je vais la fouetter »
    
    « Pas trop fort s’il vous plait ». Elle avait ...
    ... raison de craindre ce qu’elle allait subir mais après les plaisirs que je lui avais prodigués il fallait qu’elle passe cette épreuve.
    
    « Je décide de la force de mes coups mais tu seras récompensée pour ton endurance »
    
    « Combien de coups ? » dit-elle
    
    « Vingt »
    
    Elle se tut.
    
    Le martinet s’abattit, je la vis tressauter ; plusieurs fois il lui arriva de serrer les cuisses sous les coups mais elle les rouvrait rapidement. Lorsque j’arrivais à dix huit coups, elle n’essayait plus d’éviter les lanières qui cinglaient (je retenais quand même mes coups), je lâchais les deux derniers coups. « Encore Fabienne, j’aime avoir mal à la chatte »
    
    J’avais découvert une masochiste ! Sans être profondément sadique, j’étais satisfaite d’avoir son corps à ma merci ; je continuais jusqu’à trente.
    
    « Tu as été courageuse ; je vais te lécher pour te récompenser »
    
    Un merci fut prononcé dans un souffle.
    
    Lorsque je me penchais pour lui donner cette caresse, je découvrais son sexe gonflé sous les coups. Je pris possession de sa chatte avec douceur mais je réalisais que le martinet l’avait tellement excité qu’elle était prête à jouir très vite. Je voulais moi aussi « ma part du gâteau » et je m’accroupis sur son visage pour un nouveau cunni .
    
    Nous eûmes alors un plaisir intense, ensemble.
    
    J’avais trouvé la perle rare !
    
    A suivre 
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