1. Mon éveil à la soumission Chapitre 10


    Datte: 28/09/2018, Catégories: Entre-nous, Les femmes, Auteur: Divinmarkiz, Source: Hds

    ... »
    
    « Tu en as envie ? »
    
    « Je ne sais pas, j’ai peur d’avoir mal »
    
    Toujours à genoux entre mes cuisses, je retirai les pinces de ses seins que je massais longuement.
    
    « Je vais préparer tes fesses ; la première fois est un peu douloureuse mais j’espère que comme moi tu y prendras plaisir. Commençons par du plaisir. Mets toi à quatre pattes, offerte»
    
    Elle s’exécuta, j’avais choisi de la rassurer. J’aimais ses belles fesses charnues ; je passais un doigt sur son anus appuyais pour y pénétrer, elle était en effet très serrée. Je me plaçais derrière elle et lui humectais longuement les fesses avec ma bouche. « C’est tellement bon, on ne me l’a jamais fait ».
    
    Je passais ensuite mes doigts enduits de vaseline autour de son anus et en faisait pénétrer à l’intérieur, sans lésiner ; je voulais que ce « dépucelage » soit aussi soft que possible ; je voulais aussi qu’elle apprenne à apprécier cet acte.
    
    Je choisis mon plug gonflable qui était de petite taille « au repos ». je le faisais pénétrer doucement à l’intérieur de ses fesses en prenant mon temps ; elle se laissait faire , n’exprimait pas de rejet . Au fur et à mesure, ses fesses commencèrent à venir au devant de mes gestes : bon signe !
    
    Une fois bien enfoncé, je choisis encore une fois d’y aller avec douceur ; je passais ma main sur sa chatte que je caressais ; sa mouille était abondante et je pouvais entendre ce doux bruit de succion qui m’excitait tant !
    
    « Tu ne peux avoir que du plaisir ! Prépares toi ...
    ... ».
    
    Je ressentis un léger sursaut, crainte de la suite , mais elle ne prononça aucun mot , en attente.
    
    Je lui posais sur la chatte deux paires de pinces et j’y ajoutais un poids sur chacune;
    
    « Maintenant lève toi et viens devant moi »
    
    Elle le fit lentement et avec difficultés ; j’adorais le spectacle de ses lèvres étirées. Passait sur son visage un léger rictus de souffrance mais là encore, elle ne dit rien, résignée sans doute et heureuse peut-être de découvrir comme je l’avais fait le plaisir de me satisfaire et le plaisir tout court de cette douleur.
    
    Avec ma badine je faisais balancer les poids ; pour l’avoir vécu je savais combien ce balancement pouvait être douloureux et jouissif. Il l’était pour moi en tous cas.
    
    Bien dressée par Pierre à toujours mêler douleur et plaisir, je recommençais à la caresser. Son bassin ondulait, et sous l’effet ce ses mouvements je voyais les poids balloter ; elle s’infligeait maintenant elle-même cette douleur. Devant tant de bonne volonté, je décidais qu’il était temps qu’elle jouisse et j’accélérai le mouvement et la précision de mes doigts. Elle debout, je la sentis trembler, le souffle rauque jusqu’à ce qu’enfin elle ait un orgasme qui la fit s’agenouiller ; je retirais avec douceur les pinces pour la laisser apprécier tout en massant ses lèvres meurtries.
    
    Elle posa sa tête sur mes genoux, je sentais son visage en sueur, son souffle court.
    
    Je caressais ses cheveux ; je voulais qu’elle ressente ma bienveillance qui ...