Les soeurs Ukazovà, complices sexuelles (3)
Datte: 28/09/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: megalosex, Source: Xstory
... fait deux mille couronnes (1). Avec un petit mot :merci pour le joli spectacle que vous nous avez offert, vous et votre sœur.Eh bien, je vais t’en reverser une partie, tu le mérites !
Nous arrivons finalement à la maison vers 5 h 50. Je regarde Jana, qui n’hésite pas à m’adresser un sourire coquin. Si bien que c’est tout naturellement que j’en viens à caresser ses jolies cuisses. Et comme elle se laisse faire, j’en profite pour l’embrasser à pleine bouche, tandis que ma main gauche se pose sur sa chatte. Puis j’enfonce deux doigts entre les lèvres de sa vulve. Une fois bien enfoncés, je les remue à l’intérieur avant de lui ramoner le vagin, lentement, puis de plus en plus vite. Elle ne tarde pas à mouiller. Il ne faut pas attendre bien longtemps pour que les gémissements de plaisir de Jana, se mêlent au clapotis provoqué par mes doigts fouillant son vagin trempé de mouille. Et elle finit par jouir laissant une large auréole de cyprine sur la housse du siège. Elle se reprend un moment, puis murmure :
— ...
... Mmm ! Ce que j’ai pu jouir, grâce à vous deux !
Sa main droite caresse ma braguette :
— Je te fais bander, hein ? Tu aimes me voir avec des tenues excitantes. Tu veux que je fasse comme Éva ? Rester toute nue dans la maison ? Bon, je pourrais te branler là, maintenant, mais j’ai mal au poignet d’avoir masturbé autant de bites. Alors, on reprendra ça plus tard. Il faut bien dormir un peu, n’est-ce-pas ?
Au moment de descendre de voiture, je constate qu’Éva est restée sur le siège arrière tandis que je faisais jouir sa sœur. Mieux, le mouvement de sa main droite qui s’agite entre ses cuisses ouvertes, est là pour me faire savoir l’excitation que cela lui a procurée. Alors je reste là, attendant qu’elle atteigne le sommet du plaisir, avec, à la clé, un gloussement de contentement.
Après quoi, il faut bien se décider à entrer dans la maison, sans faire de bruit. Et vers 6 h 15, nous nous glissons sous la couette, chacun de son côté.
(1) L’équivalent d’un mois de salaire moyen en 1974
À suivre …