Les soeurs Ukazovà, complices sexuelles (3)
Datte: 28/09/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: megalosex, Source: Xstory
... ma sœur.
Quand nous sortons de la salle de bain, un homme nous demande si nous désirons prendre une collation. Nous approuvons et il nous conduit dans un salon. Nous nous asseyons chacun dans un fauteuil. Quelques minutes plus tard, il apporte trois grandes infusions, ainsi qu’une généreuse part de gâteau, une sorte de biscuit. Les fauteuils sont petits, avec une assise étroite, ce qui oblige à se caler bien au fond, pour être un tant soit peu à l’aise. Ce qui a pour effet de faire remonter un peu plus leur jupe ou robe déjà bien trop courte, leur faisant exposer, au final, leur intimité aux regards de tous ceux qui ont la chance de se trouver face à elles. Et quand je leur fais remarquer, avec un brin de malice, qu’on voit leur minou, elles ne se privent pas de me dire, à l’unisson :
— C’est bien ce que tu voulais, n’est-ce-pas ?
C’est alors que s’approche le fameux moustachu, qui a l’air d’être l’organisateur de la soirée. Il tient une enveloppe à la main. Il me prend à part, à quelques mètres d’elles :
— Je suppose que vous êtes d’accord pour verser un pourboire pour la prestation de mademoiselle Jana ?
Il me tend l’enveloppe, tandis que je retire, discrètement, un billet de cent couronnes de mon portefeuille. J’avais admis être généreux … alors, autant l’être. Puis il ferme l’enveloppe et va la remettre à Jana, avec une petite révérence à la clé. Puis il s’éclipse, tandis que nous continuons, sans trop nous hâter, à prendre notre collation. Mais quand ...
... sonne 4 h 45, Éva se décide :
— Bob ? Si on y allait ? On doit bien avoir une heure de route à peu près … Ce n’est pas que je sois pressée, mais il faut quand même dormir un peu. C’est qu’avec mon père, il n’est pas question de rester au lit jusqu’à midi ou même 11 h. On pourra tenir jusqu’à 9 h, pas plus. Avoir son appartement à soi, ce serait idéal, mais c’est très compliqué chez nous.
Nous nous faisons indiquer la sortie et nous retrouvons la voiture à l’arrière de la maison. Jana est invitée à monter à l’avant par Éva, qui s’installe à l’arrière. Au moment de démarrer, je regarde Jana : sa micro-jupe dévoile ses cuisses jusqu’à la chatte, visible en partie. Le haut de son débardeur est tendu par ses beaux seins, dont les tétons pointent. Absolument bandante. Elle m’adresse un sourire aguicheur, satisfaite de se sentir désirable. Puis Éva me susurre :
— Tu sais, ça m’excite de savoir que Jana te plait.
Maintenant nous sommes sur la route. Il n’est pas loin de 5 h ; le jour est déjà bien sensible et le soleil est à l’horizon. La route est quasi déserte. Jana, qui tient dans sa main l’enveloppe que lui a remise l’organisateur, décide de l’ouvrir. Elle a un « Ho ! » de surprise quand elle constate l’épaisseur de la liasse de billets de banque qu’elle contient. Cela attire Éva qui demande :
— Alors, combien cette fois ? Ils ont été généreux, on dirait.
Jana compte les billets :
— Tu peux le dire ! Il y a vingt billets de cinquante couronnes et dix de cent … ça ...