Les soeurs Ukazovà, complices sexuelles (3)
Datte: 28/09/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: megalosex, Source: Xstory
... qu’un a joui et éjaculé dans son cul, il est remplacé par un autre. Et le plus bandant, c’est qu’Éva jouit à chaque fois. Quand le cinquième jute dans le cul d’Éva, l’un d’eux me lance :
— Tu veux enculer ta copine ?
Ce n’est qu’une invitation, mais je sens qu’ils ont très envie que je le fasse. Alors, déposant ses vêtements sur le sol, je m’approche. Elle est restée dans la même position. Son cul doit être gorgé de foutre, au point que ça déborde un peu : un filet de sperme s’écoule par son petit trou. Ma bite, une fois sortie, est raide d’excitation et je l’enfonce dans son trou du cul : ça rentre comme dans du beurre, tant c’est lubrifié d’un abondant sperme. Et comme les autres, je la ramone comme un forcené. J’entends ses gémissements, ses gloussements. Elle semble insatiable. D’ailleurs je jouis assez vite, ajoutant mon quota de foutre à celui de mes prédécesseurs. Éva est en sueur, ravagée par des orgasmes répétés. Elle peine à se redresser pour se regarder dans la glace. Pendant ce temps-là, ces messieurs rangent leur bite dans leur pantalon. C’est alors que la porte des toilettes s’ouvre.
Des exclamations résonnent : c’est Jana qui vient d’entrer, suivie de deux hommes. Elle est nue et en piteux état : engluée de sperme de la tête aux pieds ! Elle en a partout. Sur les seins, le ventre, les cuisses, les fesses, le dos, les épaules, le visage, le sexe, et même les cheveux. Et elle n’a plus son masque. Elle esquisse un sourire, en nous apercevant :
— Ah ! ...
... Vous êtes là, vous deux ! En bonne compagnie aussi …
Elle regarde sa sœur, encore en sueur, un filet de sperme s’écoulant de son anus
— Eh bien, tu en as pris un sacré coup, toi aussi ! Avec moi, ils étaient déchaînés. Ils m’ont fait descendre de l’estrade et amener dans un angle de la pièce. À cet endroit, le sol était recouvert de plastique. Ils m’ont fait mettre debout, à genoux, allongée, bref, dans toutes les positions possibles et imaginables. Ils se branlaient sur mon corps, et jutaient dessus ! Certains ont fait ça deux fois. Je n’ai pas pu compter les giclées, la plupart bien épaisses. Plusieurs d’entre eux ont voulu que je les branle à la main, au point que j’ai mal au poignet droit. Je suis toute collante, et puis cette odeur forte… vivement la douche, et pour toi aussi, ma pauvre sœur !
Éva sent bien que le mot a échappé à Jana, mais elle ne le relève pas et lui raconte sa « séance » :
— Je me suis vite retrouvée à poil dans la salle. Et comme ils ne pouvaient pas être tous autour de toi en même temps, quelques -uns sont revenus vers moi et m’ont trouvé à leur goût … et ils m’ont entraîné ici. Ils m’ont tous enculé, à la chaîne ; Bob en dernier. Ce que j’ai pu jouir … c’est affolant. En plus, il y avait les commentaires … d’une crudité à faire mouiller. Jusqu’à dire que j’étais ungarage à bites! Tu te rends compte ?
— Alors, les filles ? Vous êtes deux sœurs, si j’ai bien entendu ?
C’est « l’athlète », à la grosse bite qui vient de parler. Jana ...