1. La rencontre


    Datte: 28/09/2018, Catégories: fh, inconnu, grosseins, groscul, voyage, BDSM / Fétichisme entreseins, Oral Auteur: Rubens, Source: Revebebe

    ... mâles convergeaient vers moi. C’est plutôt drôle maintenant que tu es là. Je suppose que j’ai appris la leçon : qu’est ce que j’espérais en laissant un homme acheter mes soutiens-gorges ?
    
    Nous avons été menés à une table faisant le coin et elle a finalement enlevé son manteau avant de s’assoir. Je suis presque tombé de mon siège. Elle portait un chemisier rouge sombre, étroit, moulant, avec un profond décolleté en V montrant une fente prononcée bordée de deux outres généreuses. Le soutien-gorge soulevait ses gros seins lourds et les poussait en avant, et ils paraissaient colossaux. Je savais maintenant que Nathalie portait les sous-vêtements que je lui avais offerts ce matin même. J’ai vu quelques-uns des hommes dans le restaurant tourner leurs têtes, le regard fixe, vers l’opulente poitrine provocante de Nathalie. J’étais aux anges.
    
    — Là, dit-elle. J’espère que tu es heureux.
    
    Je l’ai regardée fixement dans les yeux, puis je suis doucement descendu sur ses imposantes mamelles, prenant tout mon temps pour me délecter de cette vision fantasmagorique :
    
    — Je le suis, ai-je répondu sincèrement.
    — Tu sais…
    
    Elle s’est penchée en avant, me donnant un point de vue encore meilleur sur son décolleté, parlant doucement :
    
    — Je l’ai fait pour te plaire. Je ne m’habille jamais comme ceci habituellement.
    — Tu devrais. Cela te va très bien.
    
    La serveuse s’est approchée pour nous proposer les spécialités de la maison.
    
    — Cela me semble bien, ai-je dit.
    — Pour moi ...
    ... aussi, a dit Nathalie.
    — Avec deux Pinacolada.
    
    Quelques Pinacolada plus tard, nous avons chancelé dans la rue, Nathalie riait nerveusement et se raccrochait à mon bras.
    
    — Merci, c’était une belle soirée, ai-je dit. Mais en parfait gentilhomme que je suis, je vais naturellement t’accompagner jusqu’à ta chambre d’hôtel.
    — Pourquoi « merci » ? a-t-elle dit, comme tu es gentil !
    
    Nous étions plutôt à l’étroit dans l’ascenseur. J’ai mis mon bras autour de sa taille, le laissant glisser plus bas, caressant délicatement ses fesses rebondies. Quand nous sommes arrivés à la porte, elle m’a étreint en me souhaitant bonne nuit. La sensation de ses gros seins lourds contre ma poitrine m’a quasiment fait exploser. Je savais qu’elle pouvait sentir mon érection contre sa cuisse, mais je ne m’en suis pas inquiété et elle ne s’en est pas offusquée.
    
    — Tu sais, a-t-elle chuchoté, il n’est pas vraiment juste que tu aies deviné ton présent sur moi, mais tu ne l’aies pas vraiment vu, qu’en penses-tu ?
    
    J’ai incliné la tête. Elle a ouvert la porte et je l’ai suivie. Prenant ma main, elle m’a mené au bord du lit, où je me suis assis, avec elle debout devant moi. Une à une, elle s’est débarrassée de ses chaussures, d’un coup de pied majestueux et ô combien érotique, riant quand elles heurtaient le plancher.
    
    — Je n’ai jamais fait un strip-tease pour personne, et je n’ai jamais porté des sous vêtements aussi affriolants, a-t-elle dit, la voix un peu embuée par l’alcool.
    — Ne t’inquiète ...
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