La rencontre
Datte: 28/09/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
grosseins,
groscul,
voyage,
BDSM / Fétichisme
entreseins,
Oral
Auteur: Rubens, Source: Revebebe
... acheté de la lingerie pour une femme. La vendeuse, habituée probablement aux hommes errant indécis dans le magasin, m’a repéré tout de suite.
— Puis-je vous aider ?
— Oui. Hum… Je recherche quelque chose pour une… une amie.
— Quelque chose de sexy ? a-t-elle souri.
— Oui.
— Vous connaissez sa taille ?
— En fait… dis-je. C’est 95F.
— Waoo, dit la vendeuse, elle a une belle poitrine opulente, plus grande que la mienne.
J’ai pris cette information comme une invitation à observer plus attentivement la vendeuse, j’ai vérifié sa poitrine rebondie plus que suffisante pour satisfaire un honnête homme. J’ai juste grimacé à cause du commentaire qu’elle a ajouté.
— La plupart des filles qui taillent aussi grand veulent quelque chose pour réduire au minimum l’aspect de leur poitrine, un minimiseur vous savez, pour lisser leur silhouette.
— En fait, je rechercherais plus un maximiseur.
J’ai vu un scintillement dans son œil.
— Vous êtes amateur de formes généreuses, pourquoi pas ? Je ne suis pas étonnée, beaucoup d’hommes sont comme vous ! Suivez-moi.
J’ai choisi un soutien-gorge de satin pourpre de type balconnet, qui présente les seins comme sur un plateau, les faisant saillir comme des obus. J’ai également acheté le slip ainsi que le porte-jarretelles assortis au soutien-gorge. Je lui ai pris une paire de bas rouge foncé à la large bande jarretière. J’ai demandé un beau paquet cadeau puis j’ai payé mes achats.
Je suis sorti du magasin, et j’ai donné le sac ...
... à Nathalie, lui faisant promettre de ne pas l’ouvrir avant ce soir et de porter son contenu pour le diner de cette nuit. Nous nous sommes séparés à regrets à la navette d’hôtel, nous laissant un moment jusqu’au dîner pour gérer nos obligations professionnelles.
Je suis arrivé le premier au restaurant, par chance j’ai été accueilli par une charmante serveuse qui avait vécu deux ans à Paris et parlait un français parfait. Elle me proposa de m’assoir au bar pour attendre mon rendez-vous. Nathalie était de cinq minutes en retard, puis de dix, puis de quinze, et moi j’étais à mon deuxième Gin-fizz, me demandant si elle avait trouvé quelqu’un de mieux pour elle, à moins que je ne l’aie peut-être offensée par mon cadeau.
Finalement, presque vingt minutes tard, elle est arrivée. Elle portait une jupe courte au-dessus du genou et une veste lâche au-dessus de son chemisier, ainsi je ne pouvais pas dire si elle portait mon présent.
— Bonsoir, ai-je dit, me levant pour la saluer.
— Je devrais te tuer, a-t-elle dit.
— Quoi ? Pourquoi ?
— Pour me transformer en cette chose éminemment érotique. Je me sens comme une vamp sur son tabouret. J’ai seulement pu mettre un chemisier qui s’étale au-dessus de mes deux obus.
Je ne pouvais pas dire si elle était réellement fâchée, ou si elle me taquinait seulement.
— Oh, je suis désolé, ai-je dit penaud.
— Non, a-t-elle souri. Disons que j’étais plutôt mal à l’aise en sortant de mon hôtel. J’avais l’impression que tous les regards ...