Rencontre improbable (3) - Histoires de Sexe

Rencontre improbable (3)

... talon bridées sur la cheville, des pieds magnifiques devant lesquels j’adorerais ramper. Tout chez elle est parfait, le moindre de ses gestes dégage la féminité absolue. Une vision de rêve.

Puis elle s’approche de moi, d’une main délicate elle inspecte mes joues encore marquées par le traitement que Sabine leurs avaient fait subir.

— Oh la la ! (trés gentille voir attentionnée)Elles ont été méchante avec toi je vois. Qu’elles sont vilaines. Je ne vais pas t’embéter plus longtemps, la seule chose pour aujourd’hui. Moi je veux rencontrer Sylvie.

— Mais maîtresse Sabine me l’a interdit.

— Tutututu, ne commence pas à désobéir. Tu ne veux pas que je fasse intervenir Sabine, n’est ce pas ? Alors, je veux que tu me présentes Sylvie et pas plutard que samedi. Tu ne veux pas que j’en parle à Sabine, n’est ce pas alors tu viens chez moi samedi. Nous sommes presque voisines.

Elle habitait le patelin proche du mien.

— Donc samedi à quinze heures précises. Nous parlerons de tout cela toutes les deux en tête à tête.

Surtout fais toi belle que je sois fière de toi. Surtout soit dicrete en venant chez moi ne te fais pas remarquer par le voisinage.

Puis elle me sourit d’un sourire bienveillant et m’embrasse.

— Je pense que Sissy est un prénom qui te va mieux. Alors à samedi mam’zelle Sissy.

Une fois partie, j’ai du mal à retoucher le sol, je suis envoûté, émerveillé. Mais le fait de désobéir à Sabine m’inquiète vraiment. Si elle l’apprend je n’ose immaginer le ...

... sort qui sera le mien.

Une autre inquiétude me tiraille car demain je serai au bureau en compagnie de Barbara. Que va-t-il se passer ? Quelle attitude devrai-je tenir ? De quelle façon va-t-elle me traiter ?

Quelle journée ! Maltraité par une furie et pour finir câliné par une déesse. Je rentre vite à la maison, j’ai un énorme besoin de féminité alors je me maquille avec soins, je mets ma plus belle robe. Je réflêchis à la tenue que je choisirai pour samedi et au diable ce qu’il arrivera si Sabine l’apprend, je ne peux pas résister à la demande de celle que je crois déesse.

Après une nuit agitée entre rêves fabuleux et cauchemars l’heure de rencontrer la nouvelle Barbara à sonnée.

Complètement mal à l’aise je rentre dans les locaux de l’entreprise avec anxiété. Barbara comme à son habitude est déjà à l’ouvrage, elle lève la tête, me regarde avec un sourire ironique mais sévère.

— Sers un café à ta maîtresse chien. Tu aurais certainement préféré que je t’appelle salope ? Réponds.

— Oui maîtresse Barbara.

— Tu me dégoute et dire que tu jouais les machos. Tu es minable. ALORS il vient mon café?

— Oui oui tout de suite.

Je lui sers le café

— (me recrachant le liquide au visage) Mais c’est dégueulasse, il est sucré. T’es vraiment nul depuis le temps tu ne sais pas encore que je le bois sans sucre. Si tu veux que ça se passe bien pour toi, t’as intérêt à être un plus attentif.

Alors que j’allais m’en servir un.

— QU’EST CE QUE TU FAIS ? A non ...