La Belle des années folles - Chapitre 5
Datte: 28/09/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Abadi, Source: Hds
Suite du ch4 : Référence : 26144-a2353
L’arrivée au ''Carré de dames ''
Pour Jeanne la soirée se prolonge dans sa tête, bien au-delà de la semaine…
Elle n’en revient pas de cette découverte. Au point que 3 semaines plus tard, elle abandonne son couple de vieux parisiens après leur avoir dit qu’elle avait trouvé un autre travail ailleurs…
Bien entendu il n’y a rien de vrai dans cette déclaration. Mais elle en a assez du train-train et désormais le sexe lui trotte dans la tête… Elle en arrive à se masturber plusieurs fois par jour, même en pleine journée dès qu’elle se sent un peu seule…
Une fois même, la petite vieille lui tombée dessus alors qu’elle s’était retroussée debout devant l’évier, et qu’elle se caressait le clitoris avec le manche de l’écumoire… Heureusement la grand-mère qui ne voit pas trop clair, n’a pas eu le temps de voir ce qu’elle était en train de faire…
Bref, elle prend son congé et la voilà partie chez la fleuriste en bas de la rue où elle se propose pour faire des livraisons…
Après quelques jours de ce travail, la voilà qui devient vendeuse-livreuse dans une épicerie Place Clichy, juste à côté de la boîte à partouses où quelques semaines plus tôt, elle a découvert le sexe libéré et à plusieurs…
Là, dans son nouveau job, elle voit passer les putes qui font les cent pas devant le magasin toute la journée. Lorsqu’elle sort de l’épicerie pour aller livrer la clientèle, elle les frôle et les côtoie, ce qui ravive ses souvenirs de baise ...
... intense et la fait fantasmer énormément. (Photo 1)
Un jour alors qu'elle faisait une livraison dans un bar, elle est remarquée par la patronne. Qui lui propose de l’embaucher dans son établissement.
A 19 ans et demi, presque 20, après ces petits boulots, la voici donc entraîneuse dans un bar américain à Pigalle. Le bar s'appelle "Le Carré de Dames".
Il mérite bien son nom parce qu'il y a là 4 jolies femmes toutes entraîneuses pour faire boire le client et un peu plus certains soirs selon le désir de ces dames et la générosité des messieurs... Jeanne est bien souvent passée devant ce bar à filles, sans savoir qu'un jour très proche, elle va échouer là, passant ainsi d’un travail pénible de livreuse à un autre type d’occupation bien plus flatteur et intéressant…
Ce bar est en réalité un bordel, disons-le clairement. Et pas une de ces "maisons closes" de haute volée, non. Comme nous allons le voir, il s’agit plutôt d’un bordel de bas étage. Presque sordide. Bien tenu et propre certes, mais dont la clientèle reste un peu quelconque, voire vulgaire !
Voyons d’un peu plus près les pensionnaires du moment…
La Léopoldine d'abord, une grande fille de la banlieue, qui dépasse le mètre soixante-douze ce qui n'est pas fréquent à l’époque. Elle approche la trentaine, bien faite, une grande bouche toujours peinte en rouge éclatant, une jolie poitrine, de belles jambes longues et élancées dont elle était très fière. (Photo 2)
Et surtout lorsqu’elle n’est pas déshabillée ...