La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1054)
Datte: 27/09/2018,
Catégories:
En solitaire,
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... dos et en une seconde, comment je ne peux le dire, je me suis sentie projetée en l’air et retournée sur le lit. J’avais les yeux si crispés, qu’à la fin du tout, j’en avais mal aux paupières. Mais, retournée comme dit plus haut, ma main gauche ne s’était pas, désolidarisée du clitoris qu’elle touchait toujours. Et après, quelques secondes de répit, entamait à nouveau ses mouvements… Je sentais mes fesses se crisper tant (je sus par la suite que personne ne pus passer un doigt entre elles tant elles sont serrées dans ce cas), j’étais tellement tétanisée par ce que m’envoyait mon bouton rose, n’étant plus des rafales de petits orgasmes mais comme des ruisseaux trop gonflés par des pluies diluviennes, devenus torrents dévastateurs, mes yeux devenaient hagards, grands ouverts mais je ne voyais plus rien… ma respiration n’en parlons pas mon cœur semblant exploser dans ma poitrine, mes tétons durcis et allongés puis à nouveau encore plus rapidement, ce que j’appelais une tornade classe 5…
Hummmm ! disais-je toute seule, ouf tentais-je de souffler pour calmer mon cœur… inouï… La violence de ce nouvel orgasme était encore plus violente, comment dire, plus dévastatrice, commençant de me donner des crampes, mais, ne m’empêchant cependant pas de stopper là l’expérience et me privant de la force mentale d’enlever ma main… Je retombais sur le lit, toujours à plat ventre, main collée à ma vulve, mais me voilà aussitôt repartie à me frotter contre les draps… Je donnais de violents coups ...
... de reins comme pour frotter mon clitoris cette fois sur les draps, et immédiatement, arrivèrent des multitudes d’orgasmes, cette fois, non dissimulés, mais bien réels, puissants, à chaque coup de reins faisant toucher mon clito sur le drap, je jouissais comme une bête, pratiquement de façon continue. C’était extraordinaire, merveilleux, sensationnel, divin, oui divin, car à un moment précis, alors que j’avais complètement perdu la maîtrise de mes pensées, de mes gestes et de mon corps, j’eus l’impression, fugace d’approcher une sorte de divinité, d’entendre des musiques inconnues mais si belle, et c’est à ce moment précis, qu’une véritable détonation naquit dans mon corps, c’était le 6° orgasme…
Comment le décrire après tous les qualificatifs déjà utilisés pour les précédents ? Je ne parle plus de sa violence inouïe, elle était encore plus forte, de la soudaineté de sa survenue, là à nouveau, je ne m’y attendais pas aussi rapidement, tout mon corps se mit à vibrer de faon intense, des fourmis envahissaient non seulement mes mains, mes doigts, mes orteils, mais la totalité de mon ventre semblait être prise d’une frénésie hystérique… Alors que je tentais de retrouver mes esprits totalement ailleurs, mon corps fit un tel bond que j’en fus retournée, retombant sur le dos, cuisses complètement écartées, trempée comme sortant d’un bain, à la fois de sueur et de cyprine, mais la main toujours collée sur mon pubis, devenu rouge de frottements. Je ne comprenais plus rien à ce qui ...