La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1054)
Datte: 27/09/2018,
Catégories:
En solitaire,
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
La Comtesse et son clitoris – (Hors-série) - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) –
1) La découverte : C’était en mai et un après-midi alors que j’avais dansé dans ma chambre, je ruisselais de sueur et m’allongeais sur mon lit, complètement nue, épuisée par la danse, le ciel était sombre, un orage s’annonçait. Soudain un coup de vent violent, suivi par d’autres fit voler les rideaux de la pièce, passa sur mon corps, le rafraîchissant. Allongée que j’étais, une jambe pendante, les bras écartés regardant le plafond, je reprenais mon souffle, et sentis, la caresse du vent sur mon corps, c’était agréable. Tandis que je me rafraîchissais, je sentis le vent passer en bas de mon ventre et une curieuse sensation m’arriva. La fraîcheur du vent annonçant l’orage imminent, en cet endroit me fit prendre conscience, sans savoir pourquoi, que ça me faisait du bien. Instinctivement, j’écartais un peu plus les jambes, mais je n’avais encore aucune autre idée que de retrouver mon souffle, me rafraîchir, et récupérer. Vous devez savoir, que j’adorais danser bien sûr, que j’étais Petit Rat de l’Opéra de Paris, et que donc, la danse faisait partie intégrante de ma vie. La danse me permettait de me défouler…
La sensation que j’ai reçue en cet instant de repos, me troubla, après que j’eus récupérer quelque peu. Alors que je commençais de sombrer dans un demi sommeil d’une sieste improvisée, et que, dehors, le ciel se zébrait d’éclairs, ma main gauche se ...
... rapprocha de mon entre jambes, comme pour toucher cet endroit qui avait réagi à la caresse du vent. Là encore, aucune arrière-pensée de ma part. Le vent continuait de souffler, ma main était posée négligemment sur mon pubis. Tout aussi négligemment, et alors que j’étais à demi-endormie, mes doigts commencèrent d’explorer l’entre lèvres vaginales. C’était agréable sans plus. Mes doigts allaient et venaient très doucement jusqu’au moment où ils touchèrent ce petit appendice, inerte encore il y a quelques minutes, mais qui, sous le toucher de mes doigts, commençait de se dresser. Ce « quelque chose de dur » m’intrigua aussi, je m’attardais sur lui. Au fur et à mesure que je tentais, avec mes doigts, d’identifier cette petite « bosse » si agréable à toucher, je commençais de ressentir des sensations agréables au début, puis, étonnantes ensuite, ce qui me fit poursuivre…
J’avais à l’époque de gros manques à compenser. Ressentir le bienfait, certes fugace de me toucher en cet endroit m’apportait un peu de baume au cœur. L’orage se déclarait enfin, violent, très violent même comme le font certains orages en région parisienne. Je dus me lever rapidement pour fermer la fenêtre et alors que j’allais m’allonger de nouveau, pour poursuivre la découverte de cet endroit intéressant, un énorme coup de tonnerre retentit, j’eux très peur, la lumière se coupa, ce qui me fit abandonner mon exploration. Ce jour-là, je m’arrêtais à cette découverte mais me disait, que je continuerai une prochaine ...