UNE FERMIÈRE SALOPE
Datte: 27/09/2018,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Tamalou, Source: Hds
... Jean-Louis ne prirent pas le temps de se rhabiller, heureux de s'en tirer à si bon compte! Saisissant leurs frusques, ils se précipitèrent dehors tout nus en essayant d'amadouer le vieux: "Ne fais pas de connerie, mec! On y va! On y va!"
Les yeux et l'arme de M. Franklin suivirent les deux hommes qui couraient hors de la grange pour disparaitre dans les bois.
Son regard furieux revint sur sa perverse compagne nue et terrorisée.
"C'est pas ma faute, Henri! Ils m'ont obligée! Je ne voulais pas!"
"Ferme ta gueule, salope!" cria M. Franklin. "Je sais qui tu es. Tout le monde le sait! Il est temps que je te donne une leçon!"
Je me demandais ce qu'il lui passait par la tête. M. Franklin allait sûrement attraper la femme et la ramener chez lui. N'est-ce pas?
Le vieux fermier a déposé son arme pour attraper la femme par le bras. Mais au lieu de l'emmener, il la coucha à plat ventre sur une grosse botte de paille.
"Couche-toi là-dessus, salope!" il cria. "Je vais te baiser dans tous tes orifices. Il est temps que tu saches qui est ton maître!"
Mollie avait visiblement un peu moins peur mais n'était pas en position de désobéir aux instructions du fermier. Paul et moi n'en perdions pas une miette. On pouvait voir sa chatte gonflée avec ses jus qui suintaient. M. Franklin pouvait la voir aussi.
"Alors, petite salope, t'a bien joui, hein? T'as aimé sa grosse bite à l'autre trou du cul, t'as pris ton pied, grosse pute!" murmura-t-il en enfonçant deux doigts la ...
... chatte distendue.
"Henri, chéri, je te jure …"
"Ferme ta gueule, ça fait un moment que je suis derrière la porte à t'écouter gueuler, traînée!"
Il la sondait avec deux doigts en faisant glisser les bretelles de sa salopette avec sa main libre.
"Bien, ça veut dire qu'elle sera douce et lubrifiée pour ton vieux papa!"
La combinaison de Franklin tomba autour de ses chevilles et il baissa son caleçon. Sa main saisit sa bite semi-rigide et il s'en servit pour gifler les fesses de la jeune femme. Mollie gémit et supplia, prétendant être une innocente victime et ne méritant en aucun cas d'être punie.
"Tais-toi, chienne." gronda Franklin "Tu me soûles avec tes mensonges! Je t'ai assez entendue!"
Sur ce, il posa ses deux mains sur les reins de Mollie et s'enfonça dans la chatte béante. Mollie a crié sous la pénétration, mais son cri n'exprimait plus la peur ou la douleur. Visiblement, elle ne redoutait pas la punition.
"Ooh!" gémit le vieux en martelant la fille docile. "Salope! Qu'est-ce que t'es bonne à baiser!"
M. Franklin avait une excellente maîtrise, bien meilleure que Paul et moi, car nous n'avons pas pu résister au spectacle du vieux martyrisant la fille. Plusieurs minutes se sont écoulées pendant lesquelles M. Franklin a pilonné la chatte de la fille, avec aucun respect ni aucun soucis pour autre chose que son propre plaisir, et peut-être un peu de vengeance.
"Maudite catin! Ta chatte est trop relâchée! Avec sa grosse bite, l'autre salaud t'as ...