1. UNE FERMIÈRE SALOPE


    Datte: 27/09/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Tamalou, Source: Hds

    ... milieu d'un capharnaüm. La vieille grange était un nid à poussière et un asile pour les araignées et les mulots. Quelques rayons de soleil perçaient le toit en ruine et traversaient la pénombre comme des rayons lasers. Une vieille échelle vermoulue était le seul moyen de monter au grenier. Sans la moindre pensée de peur ou de prudence, nous avons commencé à grimper.
    
    Je posais le pied dans le grenier et Paul était encore au milieu de l'échelle quand nous avons entendu des voix.
    
    "Grouille!" J'ai soufflé "Quelqu'un vient, bouge-toi le cul!"
    
    Paul réagit rapidement et gravit les derniers échelons restants. Nous avons plongé sur les planches vermoulues pour nous recouvrir de foin odorant, retenant notre respiration pour être aussi discrets que possible. Des voix masculines et féminines s'approchaient, en plaisantant et en riant.
    
    Nous nous sommes regardés et nous avons souri en reconnaissant la voix de Mollie. Nous nous sommes tassés prudemment. Hors de question d'être découverts maintenant, aucune fuite n'était possible, et nos efforts auraient été réduits à néant. Bien que recouverts d'une bonne couche de foin, nous pouvions voir la majeure partie de la grange.
    
    Mollie était accompagnée de deux jeunes et robustes ouvriers agricoles. Ils chahutaient et embrassaient Mollie à tour de rôle en riant. Elle se laissait embrasser et tripoter en gloussant, visiblement ravie.
    
    Paul et moi avons regardé comment Mollie s'est dégagée adroitement des mains baladeuses des deux ...
    ... gars et, les défiant du regard, elle a commencé à dégrafer lentement sa blouse paysanne en se tortillant sur place. Les deux jeunes mâles étaient scotchés sur place, dévorant la femelle du regard. Finalement, l'ouverture de sa blouse fut suffisante pour faire glisser le vêtement sur ses épaules.
    
    Mollie faisait durer le spectacle, retenant le vêtement afin qu'il glisse doucement de ses épaules et, pour la première fois, j'ai eu droit à la vision d'une femme seins nus. En regardant sa poitrine et ses gros tétons turgescents, ma queue est devenue douloureusement dure, à l'étroit dans mon slip. J'ai jeté un coup d’œil à Paul qui avait déjà sorti sa bite pour lui faire prendre l'air, et je l'ai imité.
    
    Je ne pouvais pas m'empêcher de comparer cette plantureuse poitrine qui se balançait doucement devant mes yeux exorbités, à celle de mon fantasme sexuel, Janine. Les seins de Janine étaient gentils, mais c'était des seins d'adolescente, accrochés haut avec les tétons qui pointaient fièrement. Les seins de Mollie étaient deux grosses masses laiteuses, avec des tétons si énormes qu'on était pris d'une envie irrésistible de les sucer!
    
    D'ailleurs, les deux gaillards n'ont pas pu résister longtemps. Ils se sont approchés d'elle, les mains en avant, pour saisir ses lolos, les pétrir, les soupeser de leurs grosses mains puissantes. Chacun accroché à un sein, ils se sont mis à les embrasser, les lécher, les téter avec ferveur et passion. Mollie haletait tandis que les deux gaillards ...
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