Le maquis des sentiments
Datte: 27/09/2018,
Catégories:
fh,
couplus,
vacances,
plage,
bateau,
vengeance,
entreseins,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
échange,
exercice,
Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe
... Claire de la regretter. Eh oui, je ne peux me cacher la vérité, car Claire aime ce qu’il lui fait.
La pièce résonne de ce clapotis qui n’est pas celui des vagues contre la coque. De ce claquement caractéristique des chairs qui se heurtent ! Mais une ombre me cache la scène. C’est Aura qui s’est levée et qui me fait face. Sans hésiter, elle retire sa robe, se penche pour attraper mon short et le tirer sans ménagement. Elle s’agenouille. Elle va me sucer. Oui, me sucer et éteindre mon incendie. Mais non, ce n’est pas sa bouche ni sa langue qu’elle utilise, mais la douceur de sa poitrine. Deux seins qu’elle rapproche pour former une vallée qui se referme sur ma bite. Elle me branle dans cette grotte improvisée. Elle crache sur mon gland lorsqu’il apparaît tout en haut de cette masse de chair.
C’est la première fois qu’on me fait cela. C’est bon. C’est délicat. C’est étrange. Aucune de mes ex et encore moins Claire dont la poitrine est si menue que … Claire ! Je l’ai oubliée pendant un instant. Un moment suffisamment long pour que je découvre une autre scène. Elle est en levrette, la croupe offerte, le visage plaqué contre le cuir du canapé et son amant la prend ainsi. Je connais la vision que Matéo doit avoir de cette croupe que la cambrure renforce.
J’en ai une autre. Une vue de profil :
Ce visage tourné dans notre direction. Est-ce qu’elle nous voit, nous regarde ?
Ces deux petits seins, à peine déformés par la pesanteur.
Ces reins creusés, arqués si fort ...
... que la courbure est une offrande à la possession.
Ce V inversé que les deux cuisses forment pour laisser la place au mâle. Un V qui m’est caché, mais que j’imagine.
Ces doigts agrippés aux fesses, crochets de chairs qui guident le duo.
Et cet homme. Droit. Puissant. Lui aussi cambré pour pousser son sexe en avant. Un sexe qui laboure la femme. Une chienne. Une salope.
Ce n’est plus Claire, ma femme enfant. C’est une femelle qui aime qu’on la baise. Une femelle qui gronde. Une femelle qui tortille du cul pour appâter le mâle. Une femelle qui parle. Les mots sont indistincts sortant de la bouche déformée par le contact du cuir, créant un rictus obscène.
Mais des mots entendus à la volée et que mon cerveau reconstitue : « Elle est grosse. C’est bon. Baise-moi. »Des« Ahh ! » Des « Ohhh ! » Des « Oui ! ». Des « Encore ! ».
Des mots qui me déchirent le cœur. Mais des mots qui m’inspirent.
Je me penche vers Aura qui me branle délicieusement. Une Aura qui n’est pas insensible à ce qui se passe juste à côté et qui jette de temps en temps un regard.
— Mets-toi comme elle, lui demandé-je.
Elle ne se fait pas prier. Elle reste au sol, se tourne, se penche, se positionne, femelle obéissante. Ma bite s’engloutit dans sa grotte. C’est bon, c’est chaud. Moi aussi je laboure une salope.
Son mari nous voit. Il nous sourit. Sa présence m’excite. Sa virilité me défie. Je baise sa femme. Il enfile la mienne. Claire ne réagit pas. Si elle nous voit elle ne nous regarde ...