La patrouille se forme.
Datte: 26/09/2018,
Catégories:
fhh,
cadeau,
cocus,
vacances,
fsoumise,
Oral
Partouze / Groupe
fdanus,
jouet,
attache,
BDSM / Fétichisme
yeuxbandés,
confession,
Auteur: Roby, Source: Revebebe
... qui suggère de balancer ce que je viens de filmer sur la télé. C’est saisissant et terriblement excitant !
Tous trois, affalés et même un peu ivres, nous regardons mais aussi entendons. Je suis sidéré de ce que nous – surtout moi – avons pu dire dans le feu de l’action. Martine, qui est assise entre nous – quelle meilleure place qu’entre mari et amant ? – vérifie de la main que nos sexes sont en verve. Elle s’agenouille et commence à nous sucer. C’est bon. C’est divin. Je ne résiste pas au plaisir de ralentir la vidéo. Son image est justement en train de se faire envahir la gorge par son amant.
Maintenant il n’y a plus de différence entre jeu et réalité. Elle pompe la queue de son amant, et comme une pro du porno, chasse ses longs cheveux pour que son mari puisse bien le voir.
Est-ce une impression, mais la gourmande a-t-elle déjà eu raison de son amant ? Mais oui, elle s’immobilise, enserrant la hampe de ses lèvres pour lui former un étui étanche. Gérard, de toute façon, ayant bien appris sa leçon, enserre la tête entre ses mains. Il la libère.
Précautionneusement, elle remonte et aussitôt ferme la bouche pour se relever vers moi. La coquine vient me montrer sa cueillette, mais plonge aussitôt sur ma queue. La perverse a noyé la queue de son mari avec le foutre de son amant ! Et dire que je craignais de l’avoir choquée par mon langage et mon piège… Le bruit est torride. Elle m’a pris au mot. Elle doit se souvenir de ce que j’ai dit et que l’on vient d’entendre ...
... distinctement, quelque chose comme « Combien de fois ma queue a-t-elle glissé dans le foutre de son amant ? » Ce n’est pas moi qui vais au foutre : c’est le foutre qui vient à moi. C’est le foutre qui enduit ma bite si dure qu’elle en devient douloureuse. Mais je ne résiste pas plus longtemps, d’autant que contrairement à Gérard, moi je n’ai toujours pas joui.
Ma perverse de femme accepte mon don, et ma semence vient se mêler à celle de l’amant. La voilà qui se redresse et vient nous monter le résultat de nos œuvres ; le jus a coulé un peu des lèvres, accentuant encore un peu plus la lubricité de ses actes. Elle s’approche si près de mon visage que la flaque qui roule sur sa langue est un océan de sperme. Sans que je puisse réagir, la voici qui m’embrasse et me fait partager sa collecte. La dévergondée m’oblige à en accepter une partie. Aussitôt elle me quitte pour aller faire la même chose à son amant.
Du temps de ma jeunesse, à l’époque des scouts, des jeux de piste, des cow-boys et des Indiens, les pactes se faisaient par une goutte de sang. Ce soir, symboliquement et concrètement, j’en ai encore le goût dans la bouche, Martine a vraiment établi un lien entre nous trois. Gérard est comme moi. Je ne sais pas s’il a déjà goûté du sperme, mais même s’il n’aime pas il se retient de tout reproche. Il a raison. Nous aurions l’air assez con de demander à notre femme et maîtresse d’avaler alors que nous refuserions.
Contente d’elle, elle va nous cherchez à boire. Nous en ...