1. La patrouille se forme.


    Datte: 26/09/2018, Catégories: fhh, cadeau, cocus, vacances, fsoumise, Oral Partouze / Groupe fdanus, jouet, attache, BDSM / Fétichisme yeuxbandés, confession, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... mon chéri, me dit ma cochonne alors qu’elle chevauche son amant. On a commencé sans toi.
    
    Ma douce vicieuse se baise sur la bite de Gérard. Elle se tient bien droite ; certainement qu’ils n’en sont qu’au début car elle ne se sert que de ses reins pour faire bouger le mandrin dans son intimité, ce qui explique le reflet mouvant et ondulant de ce que j’ai pris pour un feu follet. Un feu, certainement, car ma dépravée de femme nous montre qu’elle a bien le feu au cul.
    
    En faisant le tour, j’ai la surprise de constater que tous nos gadgets traînent sur le canapé dans un désordre que des mains impatientes ont créé. À propos de mains, celles de Gérard tirent délicatement sur les chaînettes dont l’autre extrémité est fixée aux tétons. Martine, au fil de mes achats, est devenue accro à ces joujoux qui excitent en les maltraitant ses mamelons. Je pense sérieusement à lui proposer dès notre retour à Paris de se faire monter des piercings. Il en existe de toutes les tailles et de toutes les formes, et je me vois déjà offrir à ma femme bien-aimée des petits diamants pour les décorer. Voilà une très belle idée de cadeau.
    
    Gérard tire maintenant si fort sur sa cavalière qu’il l’entraîne sur elle. Finies les lentes oscillations, danses du ventre délicates et sensuelles ; il lui faut maintenant du plus lourd, et elle retrouve le bon vieux réflexe du va-et-vient.
    
    Penchée ainsi, le rubis de plastique apparaît dans toute sa splendeur, tache rouge où se frotte une tige d’un rose sombre ...
    ... et brillant. Bien sûr, je bande de ce spectacle. J’ai l’impression que je ne me lasserai jamais de voir ma femme si épanouie, profitant de la liberté accordée et se vautrant dans une luxure qui me ravit.
    
    Elle se baise, cavalière que Gérard dirige à l’aide de rênes bien particulières. De cavalière, la voilà monture. Une monture fougueuse qu’un mari pourrait bien dresser un peu. Le plug semble soudé au cul de Martine, et je dois tirer fort pour que le cône veuille bien faire le chemin inverse, dilater la couronne musculeuse que l’anus forme. Enfin il cède, mais je le bloque avant de le faire expulser, le temps de me positionner.
    
    Je suis en place. Bien sûr, ce n’est pas la première fois que je vais sodomiser ma femme, mais jamais après un plug, ni surtout avec un vagin déjà occupé par une bite que je sais maintenant respectable. Mais la vision est magnifique lorsque je retire le plug : le petit trou est devenu un abîme sombre, une caldera grande ouverte, un trou noir clignant de l’œil pour attirer tout ce qui passe à sa portée. Je sais que si je tarde trop, l’orifice va lentement se refermer et qu’il me faudra le convaincre de s’ouvrir à nouveau.
    
    Ma queue est raide, certainement aussi dure que celle que le jeunot d’à côté doit chercher à faire sucer par sa copine. Moi, c’est mon gland qui entre dans le gouffre. Mais s’il entre, aussitôt il se trouve en compétition avec l’occupant d’à côté. Martine s’est immobilisée, la queue de son amant bien à fond comme si elle avait ...
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