1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1333)


    Datte: 26/09/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... mon sexe me faisait mal, assurément... mais paradoxalement c'était aussi merveilleusement bon et surtout visible car ma mouille s’écoulait, ma chatte en feu était trempée, j’ondulais le bassin telle une chienne en chaleurs qui avait besoin d’être pénétrée, baisée. Loin de me calmer ou d'éteindre mon désir, cela ne fit donc qu’accroître le brasier ardent qui dévorais délicieusement mes entrailles. Le Maître m’avait laissé ensuite le temps de souffler quelque peu, avant la charge finale. Me faisant prodigieusement jouir une deuxième fois toujours avec une intensité extrême, mais cette fois juste en me pénétrant, (enfin !) d’une saillie vaginale puissante, profonde et virile. Enfonçant son épais sexe majestueux entre mes lèvres gonflées et gorgées de désir et rougies de ma chatte dilatée par ce besoin de copulation. Je ne s'aurais décrire plus exactement ce que j'ai éprouvé... Ayant vécus de nouveau un véritable paradis de plaisirs... Le Noble me baisant sans fin, pendant un temps interminable... Et je jouissais, j’explosais mes orgasmes encore et encore, à n’en plus finir, quasi sans interruption, je hurlais de plaisirs sous ses coups de reins si puissants et réguliers qu’on aurait dit des va-et-vient d’une précision d’un métronome… Jusqu'à ce que j'implorais grâce au bout d’une heure environ ...
    
    - Je... vous en supplie... finissez... aahh.... ai-je fini pas murmurer, à bout de souffle et de plaisirs rassasiés.
    
    C'est alors qu'il s'empara de la chaînette reliant les ...
    ... pinces toujours fixées à mes tétons et la tira d'un coup, arrachant en même temps ces deux pinces, me faisant hurler de toute la force de mes poumons, tandis que mon corps se cambra au maximum de ses possibilités dans ses contraintes, du fait du énième orgasme divin qui explosa à nouveau en moi avec une violence inouïe de plaisirs démultipliés. Toutes mes terminaisons nerveuses palpitant d'une jouissance torride. Mes cuisses étaient agitées de tremblements et mon cœur battait sauvagement dans ma poitrine, dans ma tête et dans mon clitoris. Quand mon bassin retomba sur le lit, je demeurais inerte, les yeux clos sous mon bandeau, silencieuse, seuls mes tremblements encore visibles et le soulèvement rapide de ma poitrine sous l'effet de ma respiration haletante, témoignaient que je ne m’étais pas évanouie d’un orgasme si dévastateur. Je me sentais si fatiguée... vidée … épuisée... après tous ses orgasmes quasi irrationnels, incroyables, hors normes que je sombrais déjà à moitié dans un sommeil qu’incitait mon corps éreinté. C'était étrange de me sentir si apathique et si comblée en même temps. J'aurais pu passer le reste de la journée et de la nuit entravée, toute nue dans ce lit, cela ne m'aurait pas gênée plus que ça, tant je me sentais bien, comblée et heureuse. Si bien que je ne pus m'empêcher de pousser un gémissement de désapprobation quand Monsieur le Marquis me libéra les jambes. Ouvrant et retirant de même les mousquetons retenant mes poignets au cadre du lit, m'aidant à me ...