1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1333)


    Datte: 26/09/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Conte d'Halloween au Château - (suite de l'épisode précédent N°1332) -
    
    Il se mit à effleurer du bout de ses doigts, mes tétons rougis… et quelque peu sensibles suite aux coups de cravache, caressant mes seins de ses belles mains à la chaleur renaissante... laissant l'une d'elle doucement serpenté plus bas sur mon corps et plus bas encore. Jusqu'à revenir la glisser entre mes cuisses. Mon corps s'immobilisa, alors que le Noble ralluma la flamme de mon désir, embrassant à nouveau mes terminaisons nerveuses en un rien de temps. Je pouvais sentir, ô combien il connaissait bien le corps d'une femme, glissant, caressant, frottant, pénétrant de ses doigts ma vulve exactement comme je le désirais. Ma respiration s’accéléra, tandis que mon corps entier frémissait de plaisir. Allait-il cette fois me permettre de jouir ? J'aurais peut-être dû m'y attendre après toute les histoires que j'avais lues de Lui. Car souvent dans ses écrits le ou la soumis(e) n'était autorisé (e) à jouir dans un but de dressage telle une récompense pour la servilité ou l'endurance de supplices raffinés.
    
    Car maintenant qu'il avait bien stimulé ma chatte et que mon bourgeon rose d'amour était bien visible, il le pinça entre les mâchoires d'une pince en métal recouverte de bande en caoutchouc protecteur. Cela ne m'empêcha pas de m'agiter en tirant sur mes entraves, tout en mugissant mon excitation galopante à ce traitement, bougeant mon corps comme un ver de terre que l’on maintient du bout de doigts, ...
    ... tentant de me contenir à ne pas en jouir, en essayant de la faire tomber sauf que la pince restait bien accrochée. Une chaînette étais fixée à celle-ci avec au bout une autre pince, que le Châtelain vint refermer sur ma langue. La longueur de la chaînette m'obligeait à garder la tête levée et la langue tirée sous peine de me torturer moi-même le clitoris. Ne pas bouger, ne pas bouger malgré la douleur et l’extrême excitation exprimée par un écoulement de ma cyprine sur mes cuisses, voilà quelle était ma seule pensée à ce moment-là : Ne pas bouger. Sauf que ce n'était là que le début de mon supplice quasi jouissif. Malicieusement, Monsieur le Marquis revint malaxer mes tétons, les triturant, les pinçant entre ses doigts, puis les léchant, les mordant et les aspirant dans sa bouche, en les tétant vigoureusement. Je me cambrais, malgré moi, malgré les pinces en soupirant de bien-être excitant et de douleur. Cherchant à pousser d'avantage mon sein dans sa bouche. Sauf que le Noble se retira, pour venir refermer les mâchoires d'autres pinces sur mes tétons pointant. La morsure de ses nouvelles pinces, me procurèrent des sensations intenses, quoique supportables, du moins à ce moment-là. Quand il eut terminé, il se recula pour contempler le spectacle que j'offrais : Toute nue, écartelée, la langue, les seins et le clitoris reliés par ces chaînettes courant sur mon corps.
    
    - Il manque un petit quelque chose !, perçus-je Ses mots dans ma tête.
    
    Et prennent un foulard noir de soie, il ...
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